Voir:
Limon-Bonnet (M.-F.) [dir.],122 minutes d’histoire. Actes des notaires de Paris, XVIe-XXe siècle, Paris, 2012, pp. 68-69.
Annuaire officiel du notariat 2012, p. 1001.
Les minutes de cette étude ont été versées aux Archives nationales (2013) jusqu’au 31 décembre 1938, mais elles ne sont pas encore cotées. Leur communication en salle de lecture n’est donc pas encore possible.
Cette étude est établie au voisinage de la porte Saint-Denis, au coin de la rue Thévenot, sous l’Ancien Régime. Elle reste ensuite boulevard Bonne-Nouvelle jusqu’en 1866, puis gagne le boulevard Saint-Denis. En 2000, elle s’installe 25, rue du Général-Foy. En 2012, elle déménage au 3 place des Victoires. Son fonds, qui a été terriblement mutilé (les minutes de l’Ancien Régime ont été, dans leur majorité, dispersées au cours du premier quart du XXe siècle, semble-t-il, mais environ 3000 d’entre elles ont pu, jusqu’à ce jour, être récupérées), présente encore de nombreux dépôts de pièces, des quittances du garde du Trésor royal, des tontines et des rentes viagères. Une faillite importante y est réglée en décembre 1789, celle de Millerville-de-Berge. Et citons, au XIXe siècle, la constitution du chemin de fer de Saint-Germain, et celle du chemin de fer Paris-Lille, ou encore l’inventaire après décès de Victor Schoelcher, sénateur, promoteur en 1848 de l’abolition de l’esclavage (2 février 1894).
Le Minutier central conserve les minutes de l’étude XXXII à partir de l’année 1683.
Les minutes de cette étude ont été versées aux Archives nationales (2013) jusqu’au 31 décembre 1938, mais elles ne sont pas encore cotées. Leur communication en salle de lecture n’est donc pas encore possible.