-Décret du 30 mars 1993 relatif à la composition du gouvernement (NOR: HRUX9310932D https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000543393)
- Décret n°93-784 du 8 avril 1993 relatif aux attributions du ministre du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle (NOR: TEFX9300052D https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000178918)
-Décret du 11 mai 1995 relatif à la cessation de fonction du gouvernement (NOR: HRUX9500803D https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000535602)
Composition du cabinet de Michel Giraud :
- Directeur de cabinet : Henri Rouanet.
- Chef de cabinet : Alain Larange puis Jean-Paul Kihl.
- Conseiller auprès du ministre : Jean-Daniel Leroy.
- Conseiller pour les affaires budgétaires : Jean-Luc Vivet.
- Conseillers pour l'emploi : André Nutte. Bernard Urfer
- Conseiller pour la formation professionnelle : Jean-Marc Vallenet.
- Conseiller pour les relations du travail : Christian Lambert.
- Conseiller pour les affaires industrielles : Jacques Gounon.
- Conseiller pour la statistique, les études et recherches : Laurent Arthaud.
- Conseiller pour la lutte contre l'exclusion, la politique de la ville et les mesures « jeunes » : Mireille Gaüzère.
- Conseiller en charge des relations avec les métiers : Embarek Kari.
- Conseiller parlementaire : Maryvonne Pincon.
- Conseillers presse et communication : Marie-Noëlle Brouaux, Céline Sibert.
- Chargé de mission : Jacques Baudouin.
Cabinet du ministre du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle, au sein du gouvernement d'Edouard Balladur, sous la présidence de François Mitterrand.
Par décret du 30 mars 1993, Michel Giraud est nommé ministre du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle dans le gouvernement de cohabitation constitué par Edouard Balladur au lendemain de la victoire de la droite aux élections législatives du printemps 1993.
A cette fonction, Michel Giraud fait notamment voter la loi quinquennale sur l'annualisation du temps de travail et le recours au chômage partiel. Il est également le créateur du premier dispositif du chèque « Emploi-service ». Il défend également le contrat d'insertion professionnelle (CIP), retiré cependant en 1994 sous la pression des étudiants.
Le ministre du travail a autorité sur les services relevant du ministère (décret n°93-784 du 8 avril 1993).