Peu étoffé à l’origine, le service central comprend en 1918 un secrétariat, un service intérieur et une bibliothèque. Il est constitué en 1925 de deux sections, l’une chargée du secrétariat, du service commercial, de la publicité, du contentieux, du service intérieur et de la bibliothèque, et l’autre du budget et de la comptabilité.
Cinq bureaux constituent la direction du service central en 1934 : 1er bureau : ouverture du courrier d'arrivée, centralisation, examen et présentation de la signature, organisation générale des services, affaires générales, service médical, œuvres sociales, service commercial, matériel et service intérieur, 2e bureau : budget et études financières, 3e bureau : études, documentation, statistique et prix de revient, travaux législatifs, bibliothèque et traduction, 4e bureau : contentieux, 5e bureau : comptabilité générale, ordonnancement des dépenses, contrôle des produits, règlement des comptes internationaux, agence comptable.
Les Postes et Télégraphes voient leur importance s’accroître au cours du XXe siècle, notamment à la suite de la Première Guerre mondiale. L’étoffement progressif du service en est la conséquence.
Le service central des Postes et Télégraphes, héritier d’un service du même nom placé auprès du cabinet du sous-secrétaire d’État, est chargé des missions transversales d’appui aux services de l’administration locale et centrale. Ses activités cessent à partir de 1934 d’être regroupées, et sont confiées séparément aux directions techniques du ministère.
Le service central fait partie de l'administration des postes et télégraphes.
Le service central fait partie du sous-secrétariat d'Etat aux postes et télégraphes.
Le service central fait partie du secrétariat général des postes et télégraphes.
Le service central fait partie du ministère des postes, télégraphes et téléphones.