2013-04-23
2020-10-05
Dérivation (Migration ETANOT)
2013-04-23
Révision (par Marie-Françoise LIMON-BONNET)
2013-11-15
F. Clavaud, 16 octobre 2013, déplacé identifiant vers l’élément ad hoc
Révision (par Marie-Françoise LIMON-BONNET)
2015-08-20
Révision (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS)
2020-10-05
Traitements systématiques appliqués par script XSLT spécifique aux notices des études notariales parisiennes hors du SIA des Archives nationales : normalisation de la forme autorisée du nom, correction de l’indexation statut juridique, suppression d’éléments toDate et mandate vides et de la forme du nom "indéterminé", remplacement des apostrophes droites par des apostrophes courbes.
Modification (par Modification_en_masse_SIA)
2020-10-05
Voir :
Limon-Bonnet (M.-F.) [dir.],122 minutes d’histoire. Actes des notaires de Paris, XVIe-XXe siècle, Paris, 2012, pp. 40-41.
Annuaire du notariat français 2012, p. 1038.
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Étude notariale XVIII (Paris ; 1581-....)
identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France
010145
Étude notariale XVIII (Paris ; 1581-....)
Étude notariale XVIII (Paris ; 1581-....)
nom d'agent : forme préférée
75026
75026
1581-01-01
1581-01-01
Contexte général
Les archives de l’étude XVIII sont constituées :
d’archives publiques : lesminutesde cette étude ont été versées aux Archives nationales (2013) jusqu’au 31 décembre 1938, lesrépertoiresont été versés jusqu’au 20 juillet 1897
d’archives privées :Mélanges(1583-1802) etdossiers de clients(non encore inventoriés).
Sous l’Ancien Régime, l’étude se situe sur la rive gauche, à la maison du "Pot Josué", place Maubert, ou dans les environs immédiats jusqu’à l’an II. Elle déménage vers la rive droite, rue de Richelieu, où elle reste jusqu’en 1841, pour s’installer alors rue Sainte-Anne puis rue Saint-Lazare en 1884.
La clientèle de l’étude, quand celle-ci est située dans la maison du "Pot Josué", comprend les habitants des alentours : beaucoup d’officiers du roi (maîtres des requêtes, officiers de la Chambre des comptes), de docteurs des facultés, libraires, imprimeurs, doreurs de livres, joueurs d’instruments, fondeurs de cloches. La clientèle religieuse est importante, eu égard au nombre d’établissements ecclésiastiques du voisinage (l’abbaye Sainte-Geneviève, les paroisses de Saint-Etienne-du-Mont, de Saint-Nicolas-du-Chardonnet, de Saint-Médard, le couvent des carmes, le collège des Bons-Enfants, etc.) : de nombreux marchés y sont passés concernant, par exemple, l’orgue portatif de Vincent de Paul, principal du collège des Bons-Enfants (1630), ou les cloches de Saint-Etienne-du-Mont (1628) ; le terrier de l’abbaye Sainte-Geneviève y est dressé de 1675 à 1723 ... Le 24 août 1800, est signée une convention de transfert technologique entre l’horloger Louis Breguet, fondé de pouvoir d’Augustin de Béthancourt, ingénieur espagnol, et Jean Frédéric de Rougemont, industriel d’origine suisse, fabricant d’écheveaux de fil de coton de qualité dont un échantillon est annexé à la minute. Au XIXe siècle, on y trouve le contrat de la société d’exploitation du journalL’Education, revue de l’enseignement (1840), celui de la société "L’Union des ports" (1843), et le cahier d’enchères de la fusion de la Société charbonnière, de la Société de Bruxelles et de la Société anonyme des mutualistes (1845). Le Minutier central conserve les minutes de l’étude XVIII à partir de l’année 1581.