2017-11-24 2019-01-15 Création (par Michel OLLION) 2017-11-24 Modification (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS) 2019-01-15 F. Clavaud, 15 janv. 2019 : corrigé dates des autres formes du nom et supprimé lien wikipédia non pertinent Notice Wikipedia : Tournelle (notice générale concernant les chambres criminelles siégeant dans les parlements) Notice d'autorité Bnf : recherche infructueuse Hildesheimer (Françoise), Morgat-Bonnet (Monique), État méthodique des archives du Parlement de Paris, Archives nationales, 2011, p. 19 (Tournelle), 93 (Secondes Tournelle). text/xml FRAN_NP_051826.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_051826.rdf France. Parlement de Paris. Chambre criminelle (1254-1790) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 051826 France. Parlement de Paris. Chambre criminelle (1254-1790) France. Parlement de Paris. Chambre criminelle (1254-1790) nom d'agent : forme préférée Seconde Tournelle Seconde Tournelle 1544-01-01 1624-12-31 Parlement criminel Parlement criminel 1254-01-01 1790-10-14 Tournelle criminelle Tournelle criminelle 1254-01-01 1790-10-14 1254-01-01 1790-10-14 Dès l'origine, le Parlement de Paris juge les procès criminels, en première instance ou en appel ; unechambre criminelle ou Tournelleest adjointe à la Grand Chambre pour ce type d’affaires et devient une institution permanente, à la suite d'une ordonnance de François Ier d'avril 1515, la Grand Chambre continuant à se réserver les cas les plus importants. Les magistrats qui composent la Tournelle y siègent à tour de rôle, entre un an et quelques mois selon les cas, et proviennent de la Grand Chambre et des chambres des enquêtes. La chambre criminelle du Parlement de Paris est localisée depuis le XIVe siècle dans la "Tournelle"ou tour Saint-Louis, correspondant, selon les auteurs, à la tour Bonbec ou à la tour César, derrière la Grand Chambre. Un greffe criminel conserve les archives des procédures criminelles qui sont classées dans les sous-série X/2a et X/2b du fonds du Parlement de Paris. Il faut noter que ces sous-séries ne contiennent pas que la production documentaire de la Tournelle qui juge selon la procédure criminelle, au «grand criminel ». Y figurent aussi les décisions des chambres des enquêtes qui jugent au « petit criminel », par exemple les procès pour injures. Quelle que soit la procédure utilisée, tous les arrêts sont donc réunis dans une collection chronologique unique. Une "Seconde Tournelle" a pu fonctionner occasionnellement pour aider la Tournelle à faire face à l'affluence des affaires. Créée par François Ier en juin 1544, son exercice effectif est attesté dans les archives entre 1578 et 1624.