2013-08-27 2022-08-08 Création (par Virginie POTIN) 2013-08-27 08/08/2022, J. Gaillard : Modification de la forme autorisée du nom | Correction de coquilles | Ajout sources Modification (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS) 2022-08-08 Notice Wikipedia de François Certain de Canrobert (https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Certain_de_Canrobert) Ascendants du maréchal Canrobert (https://francearchives.fr/facomponent/b6a501288985719b5e67ce186b78941bad62a0e8) text/xml FRAN_NP_050383.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_050383.rdf Canrobert (famille ; XVIIe-XIXe siècles) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 050383 Canrobert (famille ; XVIIe-XIXe siècles) Canrobert (famille ; XVIIe-XIXe siècles) nom d'agent : forme préférée 1601-01-01 1900-12-31 François-Marcellin Certain de Canrobert (1809-1895) se signale, dès 1835, par sa bravoure, en Algérie, notamment à l’assaut de Zaatcha. Général et aide de camp du prince Louis-Napoléon en 1850, il prend une part active à l’exécution du coup d’État du 2 décembre 1851. En 1854, il part en Orient comme commandant de la 1e division, est blessé à l’Alma, puis reçoit du maréchal Saint-Arnaud mourant le commandement de l’armée d’Orient. Ses difficultés avec lord Raglan, qui commande l’armée anglaise, l’obligent à passer son commandement à Pélissier en 1855. Canrobert reçoit, à son retour en France, le bâton de maréchal. Commandant du 6e corps à l’armée du Rhin en 1870, il défend Saint-Privat-la-Montagne mais doit se replier à Metz où il est fait prisonnier. Après la guerre, membre du Conseil supérieur de la guerre, il est sénateur du Lot (1876-1879) puis de la Charente (1879-1894). François Certain de Canrobert est né dans une famille d'ancienne bourgeoisie3. Il voit le jour à Saint-Céré dans le Lot, où sa maison natale subsiste et où un monument à son effigie dû à Alfred Lenoir est érigé en 1897 place de la République4. Son acte de naissance ne porte pas de particule, mais deux documents délivrés postérieurement par la mairie de Saint-Céré en font état. À sa naissance, son père, Antoine Certain Canrobert, ancien capitaine, est âgé de 55 ans. Cet officier de l'Ancien Régime émigre en 1791 et sert à l'armée de Condé. Son demi-frère, Antoine, brillant officier issu de Saint-Cyr, est tué par un boulet de canon à Fleurus le 16 juin 1815, en combattant pour l'Empereur Napoléon Ier. Par la sœur de son père, Marie-Louise, il est le cousin d'Adolphe et de Marcellin Marbot, devenus respectivement maréchal de camp (général de brigade) et lieutenant général (général de division) sous la monarchie de Juillet.