2015-09-30 2020-10-23 Dérivation (Migration ETANOT) 2015-09-30 Révision (par Marie-Françoise LIMON-BONNET) 2016-10-26 Modification (par Marie-Françoise LIMON-BONNET) 2020-09-18 P. Charbonnier, 18/09/2020 : modification forme autorisée du nom, ajout relation chronologique, indexation lieu revue Révision (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS) 2020-10-23 P. Charbonnier, 23/10/2020 : indexation fonction rétablie Modification (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS) 2020-10-23 MC/ET/IX/568, 27 février 1707 : contrat de mariage. MC/PL//48, 7051, 6 juin 1724 : placard de décès d'Elisabeth Marguerite Caron, femme de Michel Anne de Saint-Georges. text/xml FRAN_NP_010526.xml FRDAFANCH00MC_NANOTAIRE00239 application/rdf+xml FRAN_Agent_010526.rdf Saint-Georges, Michel Anne de (16..-17..) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 010526 Saint-Georges, Michel Anne de (16..-17..) Saint-Georges, Michel Anne de (16..-17..) nom d'agent : forme préférée Saint-Georges, Michel-Ange de Saint-Georges, Michel-Ange de 1707-02-25 1744-07-21 Michel Anne de Saint-Georges épouse en février 1707 Elisabeth Marguerite Caron, fille de Jean Antoine Caron, notaire (étude IV). Celle-ci meurt en juin 1724. Sur le placard après décès annonçant ses funérailles à Saint-Jean-en-Grève, on apprend que le notaire est ancien marguillier et commissaire des pauvres de la paroisse. Avec son confrère Louis Richard, il reçoit le contrat entre le roi et le clergé de France pour le paiement des rentes de l'hôtel de ville de Paris le 31 octobre 1715. Jacques François de Saint-Georges, contrôleur des rentes de l'hôtel de ville, qui meurt en sa maison du cloître Saint-Merri en juin 1741, est sans doute son frère (ou son père ?). Ce dernier avait épousé Catherine Louise Guillot, morte en janvier 1726, rue de la Tisseranderie. Michel Anne de Saint-Georges a une abondante clientèle d'artisans, d'artistes et de marchands des dernières années du règne de Louis XIV au règne de Louis XV. Le 21 juillet 1744, il cède son office à Jean Andrieu, et semble devenir secrétaire du roi, car de nombreux actes le qualifie comme tel en 1751.