2013-04-23
2024-11-28
Dérivation (Migration ETANOT)
2013-04-23
Révision (par Administration.referentiels ADMINISTRATION RÉFÉRENTIELS DOCUMENTAIRES)
2023-06-04
Modification (par Administration.referentiels ADMINISTRATION RÉFÉRENTIELS DOCUMENTAIRES)
2023-06-04
04/06/2023, J. Gaillard : Ajout activité "notaire" | Ajout lien IR manquant
Révision (par Romain LE GENDRE)
2024-11-28
Modification (par Romain LE GENDRE)
2024-11-28
28/11/2024, J. Gaillard : Reprise 'nom du lieu'
Arch. dép. de la Meuse, registre paroissial de Vraincourt, acte de baptême du 11 septembre 1768.
Arch. nat., BB/10/347, 10 nivose an XIII (31 décembre 1804), dossier de nomination
Arch. de Paris, acte de décès reconstitué
Eugène Houx-Marc, Physiologie de la galerie Vivienne et des deux pavillons. Chroniques et histoire de leurs constructions anciennes et modernes et de leurs environs. Anecdotes curieuses, etc., etc., Paris, 1851
Jean-François Belhoste, "Les débuts de la galerie Vivienne (1823-1830)", dans Documents d'histoire parisienne, n° 26, 2024, p. 79-95.
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Marchoux, Louis-Auguste (1768-1854)
identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France
011077
Marchoux, Louis-Auguste (1768-1854)
Marchoux, Louis-Auguste (1768-1854)
nom d'agent : forme préférée
1768-09-10
1854-05-29
6 rue Vivienne
1805-02-20
1826-09-06
Notaire à Paris
Né le 10 septembre 1768 à Vraincourt, aujourd'hui quartier de Clermont-en-Argonne (Meuse), Louis Auguste Marchoux est le fils de Jean Marchoux, inspecteur général des bois et domaines du prince de Condé, et d'Hélène de Bonneville. Il arrive visiblement à Paris en 1792, et devient clerc de notaire. Il épouse Marie Sophie Vernier à une date inconnue.
Principal clerc de maître Gibe (étude LV), il devient notaire de l'étude XCIII le 20 février 1805 et exerce jusqu'au 6 septembre 1826. Installé au 6 rue Vivienne, il fait l'acquisition de ce bâtiment, et du 4 rue neuve des Petits Champs les 31 mai et 13 juin 1823. Ces acquisitions lui permettent de faire réaliser la galerie Vivienne, en faisant appel à l'architecte François Jacques Delannoy.
Il décède le 29 mai 1854 à Paris au 19 rue neuve des Capucines (ancien 1er arrondissement). Dans un ouvrage publié sous pseudonyme en 1851, son neveu Eugène Marchoux dresse un portrait flatteur de son oncle.