2016-06-22 2018-03-01 Création (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2016-06-22 Elsa Camus, 20 juin 2016 : modification forme autorisée du nom, modification sources, ajout ISNI, ajout activités, ajout lieux, ajout liens Révision (par Constance DE VERGNETTE DE LAMOTTE) 2017-07-19 Ajout du lien IR le 19 juillet 2017. Modification (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2018-03-01 Archives nationales, Fonds CONDÉ / BOURBON (correspondance), 34AP. Notice BnF : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb13332855p Notice Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise-Ad%C3%A9la%C3%AFde_de_Bourbon-Cond%C3%A9 text/xml FRAN_NP_050054.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_050054.rdf Bourbon-Condé, Louise Adélaïde de (1757-1824) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 050054 Bourbon-Condé, Louise Adélaïde de (1757-1824) Bourbon-Condé, Louise Adélaïde de (1757-1824) nom d'agent : forme préférée Condé, Louise de (1757-1824) Condé, Louise de (1757-1824) Marie-Joseph de la Miséricorde (bénédictine ; 1757-1824) Marie-Joseph de la Miséricorde (bénédictine ; 1757-1824) Condé, Louise-Adélaïde de Bourbon- (1757-1824) Condé, Louise-Adélaïde de Bourbon- (1757-1824) 1757-10-05 1824-03-10 Troisième et dernière enfant de Louis V Joseph de Bourbon-Condé, prince de Condé et de son épouse, née Charlotte de Rohan-Soubise (1737-1760), Louise-Adélaïde de Bourbon (1757-1824) est destinée d’abord au comte d’Artois, frère cadet de Louis XVI. Elle succède en 1786 à Christine de Saxe comme abbesse du chapitre noble de Remiremont. Elle émigre au début de la Révolution, vit à l’étranger dans divers couvents et prononce ses vœux en 1802 à Varsovie chez les Bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint-Sacrement (congrégation fondée par Mechtilde du Très Saint Sacrement à la fin du XVIIe siècle) et devient en religion mère Marie-Joseph de la Miséricorde. En 1815, le roi Louis XVIII lui accorde à titre de monastère l'ancien domaine du Temple de Paris, où la famille royale avait été emprisonnée au cours de la Révolution. Elle y fonde l’institution de l’Adoration perpétuelle au sein de l'abbaye bénédictine Saint-Louis du Temple.