2013-08-29
2025-08-07
Création (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR)
2013-08-29
P. Charbonnier, 18/09/2020 : modification forme autorisée du nom, ajout lien IR FRAN_IR_000652, ajout liens d'identité, identifiant ISNI, indexation activité
Modification (par le Lab)
2025-08-07
X. Shen : ajout de l'identifiant de l'agent dans le référentiel d'indexation des AnF
Modification (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS)
2020-09-18
Archives nationales, Fonds Eugène Rouher, 45 AP.
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Rouher, Eugène (1814-1884)
identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France
050405
identifiant assigné à cet agent dans le référentiel dit d'indexation des personnes physiques (FRAN_RI_012) du SIA des Archives nationales de France
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Rouher, Eugène (1814-1884)
Rouher, Eugène (1814-1884)
nom d'agent : forme préférée
1814-11-30
1884-02-03
Ministre de la Justice, puis ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux Publics
Élu comme républicain à l’Assemblée constituante (1849), Eugène Rouher (1814-1884) se rallie au prince-président, est réélu à l’Assemblée législative et reçoit le portefeuille de la Justice en octobre 1849. Renversé le 19 janvier 1851, il retrouve son portefeuille le 10 avril mais l’abandonne le 26 octobre. Le 3 décembre 1851, Rouher est de nouveau nommé au ministère de la Justice et il a une part essentielle dans la rédaction de la Constitution de janvier 1852. Cependant, la confiscation des biens de la famille d’Orléans entraîne sa démission. Sa carrière se poursuit au Conseil d’État dont il devient vice-président, puis au ministère de l’Agriculture, du Commerce et des Travaux publics (1855-1863). Il contribue à l’essor des chemins de fer et fut le principal négociateur du traité de commerce de 1860 avec la Grande-Bretagne. Ministre d’État (18 octobre 1863), seul représentant politique du Gouvernement devant les Chambres jusqu’en 1867, il démissionne peu après les élections de 1869. Il est élevé à la présidence du Sénat, rejoint pendant la guerre de 1870-1871 l’impératrice Eugénie à Londres, rentre en France le 18 mars 1871, mais est reconduit à la frontière sur ordre de Thiers. Député de la Corse (1872), il réorganise le parti bonapartiste et vote contre les lois constitutionnelles (1875).