2013-12-19 2017-12-27 Création (par Pascal DAVID) 2013-12-19 Révision (par Constance DE VERGNETTE DE LAMOTTE) 2017-07-27 Il n'y a pas de notice Wikipedia, ni de numéro d'ISNI. Modification (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2017-12-27 Recherche identifiant ISNI infructueuse (27/12/2017). Archives nationales, fonds Beaumont-Brivazac (141AP). Informations extraites de l'introduction du répertoire numérique détaillé. text/xml FRAN_NP_050560.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_050560.rdf Brivazac, Hubert de (1780-1854) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 050560 Brivazac, Hubert de (1780-1854) Brivazac, Hubert de (1780-1854) nom d'agent : forme préférée Beaumont-Brivazac (1780-1854 ; comte de) Beaumont-Brivazac (1780-1854 ; comte de) Brivazac-Beaumont, Louis Hubert Edmé de (1780-1854) Brivazac-Beaumont, Louis Hubert Edmé de (1780-1854) 1780-01-01 1854-12-07 Hubert de Brivazac est nommé inspecteur général au ministère de la Police. 1808-01-01 1832-12-31 Hubert de Brivazac est nommé commissaire général de police en Basse-Catalogne en 1808 puis à Barcelone et enfin à Gênes en 1813. En 1832, il est envoyé à Bône. Né en 1780 à Bordeaux (Gironde) d’Edme-Jean-Baptiste de Brivazac, Hubert de Brivazac, dit le comte de Beaumont-Brivazac, est nommé en 1808 commissaire général de police en Basse-Catalogne, puis à Barcelone. Il est ensuite commissaire de police à Gênes à partir du 1er avril 1813. Chargé d’une mission à Aix-les-Bains pour la surveillance de l’impératrice Marie-Louise, il est nommé en 1816 inspecteur général au ministère de la Police, au moment où il est en mission extraordinaire à Londres, comme agent secret de Louis XVIII. En 1820 et 1821, le baron Mounier l’envoie, toujours en missions secrètes, à Bordeaux, en Suisse, en Italie et en Allemagne. En 1832, Hubert de Beaumont-Brivazac est nommé à Bône commissaire de police et juge royal. Par la suite, il disparait de la carrière policière. On le retrouve magnétiseur à Bordeaux en 1840, à Pont-de-Beauvoisin en 1845, à Fontainebleau et à Bourg en 1849, où il donnait des cours publics sur son art. Sa fille, Félicité, épouse en 1836 Camille Jubé, fils du général Jubé de la Pérelle.