2014-05-20 2017-11-06 Création (par Eric LANDGRAF) 2014-05-20 F. Clavaud, 20 mai 2014 : changé forme du nom, revu la notice, ajouté n°s ISNI et notice BnF Révision (par Constance DE VERGNETTE DE LAMOTTE) 2017-10-27 Ajout des liens identité le 20 juillet 2017. FRAN_IR_004504 en cours de rédaction. Révision (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS) 2017-10-31 Modification (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS) 2017-11-06 Notice d'autorité BnF n° FRBNF11913284 Londres (Florise), Mon père, Albin Michel, 1934. Assouline (Pierre), Albert Londres. Vie et mort d'un grand reporter (1884-1932), Balland, 1989. Mousset (Paul), Albert Londres, l'aventure du grand reportage, Bernard Grasset, Paris, 1972. Albert Londres, Terre d’ébène (La Traite des Noirs), Paris, Albin Michel, 1929 Archives nationales, fonds Albert Londres : 76 AS. Notice Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Londres text/xml FRAN_NP_050618.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_050618.rdf Londres, Albert (1884-1932) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 050618 Londres, Albert (1884-1932) Londres, Albert (1884-1932) nom d'agent : forme préférée 1884-11-01 1932-05-16 Albert Londres est né à Vichy en 1884. Après quelques années passées à Lyon, il part à la conquête de Paris, où il mène une vie de poète pauvre. Embauché au journal Le Matin, il signe en 1914 un premier article sur le bombardement de la cathédrale de Reims : c’est le début d’une longue carrière de journaliste engagé. Albert Londres parcourt le monde entier : Dardanelles, Russie, Italie, Palestine, Japon, Égypte, Allemagne, Indes, Bulgarie, Indochine. Par ailleurs, Albert Londres s’intéresse aux phénomènes de société et mène de véritables enquêtes d’investigations sur le bagne de Cayenne, le bagne militaire (Biribi) ou les asiles psychiatriques. Albert Londres produit beaucoup : articles pour la presse qui l’emploie (Le Petit Parisien,Excelsior,Le Journal,Le Petit Journal), poèmes (Suivant les heures,L’Âme qui vibre) et ouvrages, parmi lesquels on peut citerAu bagne, Dante n’avait rien vu(Biribi),Chez les fous,L’Homme qui s’évada,La Chine en folieouTerre d’ébène. Le 16 mai 1932, de retour de Chine, il trouve la mort dans l’incendie qui se déclare à bord du paquebot Georges-Philippar, au large d’Aden. Florise Martinet-Londres (1904-1975), créatrice de l’Association du prix Albert Londres, suit les traces de son père et écrit des ouvrages et des articles de presse (pourLe Journal,Le Journal de la femme,Le Méridien,Paysage) mais aussi des contes, des nouvelles et des chansons. L’association du prix Albert Londres, reconnue d’utilité publique le 2 avril 1971, récompense chaque année de jeunes journalistes francophones de moins de 40 ans. Elle a été créée en 1933 par Florise Martinet-Londres, fille d’Albert Londres. Décerné pour la première fois en 1933, le prix Albert Londres couronne chaque année, à la date anniversaire de la mort d’Albert Londres, le meilleur « grand reporter de la presse écrite » ; s’y ajoute, depuis 1985, la catégorie du meilleur « grand reporter de l’audiovisuel ». Depuis 1985, l’Association du prix Albert Londres est administrée par la Société civile des auteurs multimédia (S.C.A.M.).