2014-02-13 2017-10-27 Création (par Pascal DAVID) 2014-02-13 Révision (par Florence CLAVAUD) 2014-02-19 Révision (par Pascal DAVID-DORMIEN) 2017-10-27 Archives nationales, fonds Luc Barret (AS/203(II)/). Pas d'identifiant international (ISNI), et de notices BnF ou Wikipedia. text/xml FRAN_NP_050662.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_050662.rdf Barret, Luc (1945-....) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 050662 Barret, Luc (1945-....) Barret, Luc (1945-....) nom d'agent : forme préférée 1945-03-18 1964-01-01 1969-12-31 Adhère à l'UNEF, membre du bureau national, secrétaire général et président. 1960-01-01 1974-12-31 Antifasciste, membre du bureau fédéral du PSU. Luc Barret naît à Neuilly-sur-Seine en mars 1945 dans une famille protestante. Au lycée, il milite au Comité antifasciste contre l’Organisation armée secrête (OAS), adhère au Parti socialiste unifié (PSU). Il obtient son baccalauréat en 1963, et entre en classes préparatoires en agronomie1 à la rentrée 1964. Là, il devient rapidement président de l’Association générale des préparationnaires aux grandes écoles scientifiques (AGPGES), puis de la Fédération nationale des étudiants préparationnaires (FNEP) en 1965. Il intègre ensuite l’École d’agronomie de Montpellier et, de 1966 à 1968, il est élu président de l’Union générale des étudiants de Montpellier (UGEM), s'opposant à l'Association Générale des Étudiants de Montpellier (AGEM) ayant majoritairement préféré participer à la création de la FNEF3. À la même période, il milite aussi à l’Union des grandes écoles (UGE) et dans les comités d’action, où l’on participe activement aux mouvements de mai-juin 1968. En décembre, il est élu secrétaire général de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) au Congrès de Marseille, puis président en mai 1969 à l’Assemblée générale de Dauphine. Il démissionne en décembre de la même année pour pouvoir reprendre ses études. Après son service militaire, il crée avec Roger Barralis le Centre de coordination et de recherche sur le mouvement étudiant (CCRME) dont il signe deux publications avant que le projet ne cesse.