2014-05-20 2018-03-09 Création (par Thierry GUILPIN) 2014-05-20 Révision (par Constance DE VERGNETTE DE LAMOTTE) 2017-07-27 Ajout des liens identité le 27 juillet 2017. Modification (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2018-03-09 Notice d'autorité BnF n° FRBNF12459893 Archives nationales, fonds Barras et Rousselin de Saint-Albin : 171 AP. Notice Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Barras Tulard (Jean) (dir.), Dictionnaire Napoléon, Fayard, 1999, vol. 1, p. 171-173. text/xml FRAN_NP_050764.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_050764.rdf Barras, Paul (1755-1829) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 050764 Barras, Paul (1755-1829) Barras, Paul (1755-1829) nom d'agent : forme préférée Barras, Jean-Nicolas-Paul-François (1755-1829) Barras, Jean-Nicolas-Paul-François (1755-1829) Barras, Paul de (1755-1829) Barras, Paul de (1755-1829) 1755-06-30 1829-01-29 1792-09-07 1793-12-31 Barras est élu député du Var. Né en 1755, Paul, vicomte de Barras, participe comme officier du régiment de Pondichéry à la campagne des Indes. Après la prise de Pondichéry par les Anglais, il est fait prisonnier et emmené à Madras. Il est libéré et repart en France en 1780. Il démissionne de l'armée en 1786. Élu député du Var à la Convention où il siège avec les Montagnards, il est envoyé en mission près de l’armée d’Italie et dans le sud-est de la France, où, le 19 décembre 1793, il organise la répression après le siège de Toulon. C'est à cette occasion qu'il rencontre le lieutenant Bonaparte. Il provoque, avec Tallien et Fouché, la chute de Robespierre, le 9 thermidor. Commandant en chef de l’armée de l’Intérieur avec le grade de général de brigade (5 octobre 1795), il réprime l’insurrection royaliste puis cède sa place à Bonaparte le 26 octobre. Directeur (31 octobre 1795), il est un des instigateurs du coup d’État du 18 fructidor an V (4 septembre 1797) contre les royalistes. Après le coup d’État du 18 brumaire, Bonaparte l’oblige à démissionner et à se retirer dans son château de Grosbois. En 1801, il s'exile en Belgique puis à Rome en 1810. Rentré en france en 1814, il n'est pas inquiété sous la Restauration. Il meurt le 29 janvier 1829 à Chaillot.