2015-05-05
2019-07-15
Création (par Thierry GUILPIN)
2015-05-05
P. Charbonnier, 15/07/2019 : ajout source, liens d'identité (catalogue gen https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12528886d indique page introuvable), ajout ISNI
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2019-07-15
Fiche wikipédia de Claude-Antoine Prieur-Duvernois (https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude-Antoine_Prieur-Duvernois)
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Prieur, Claude-Antoine (1763-1832)
identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France
051015
Prieur, Claude-Antoine (1763-1832)
Prieur, Claude-Antoine (1763-1832)
nom d'agent : forme préférée
Duvernois, Claude-Antoine Prieur (1763-1832)
Duvernois, Claude-Antoine Prieur (1763-1832)
Prieur de la Côte-d'Or (1763-1832) pseudonyme
Prieur de la Côte-d'Or (1763-1832) pseudonyme
Prieur-Duvernois, Claude-Antoine (1763-1832)
Prieur-Duvernois, Claude-Antoine (1763-1832)
Prieur Duvernois, Claude-Antoine (1763-1832)
Prieur Duvernois, Claude-Antoine (1763-1832)
Du Vernois, Claude-Antoine Prieur (1763-1832)
Du Vernois, Claude-Antoine Prieur (1763-1832)
Prieur Du Vernois, Claude-Antoine (1763-1832)
Prieur Du Vernois, Claude-Antoine (1763-1832)
1763-09-22
1832-08-11
Claude Antoine Prieur-Duvernois, dit Prieur de la Côte-d'Or, né le 22 septembre 1763 à Auxonne (Côte-d'Or), mort célibataire le 11 août 1832 à Dijon (Côte-d'Or), est un officier du génie qui exerça des responsabilités considérables au cours de la Révolution française. Il est l'un des cofondateurs de l'École polytechnique. Formé à l’École royale du génie de Mézières (Charleville-Mézières, Ardennes), il s'est fait connaître par d'importants travaux scientifiques avant la Révolution. Élu député à l'Assemblée législative (1791) puis réélu député à la Convention nationale par le département de la Côte-d'Or (1792), il vote la mort du Roi. En tant que représentant en mission, il fit des tournées d'inspection technique dans les ports. Il se trouve à Caen (Calvados) lors de la proscription des Girondins (2 juin 1793) et est retenu comme otage au château de Caen. La débâcle fédéraliste de Vernon (Eure) (13 juillet 1793) lui rend la liberté. Dès son retour à Paris, il devient membre du comité de Salut public (14 août 1793). Il fait adopter l'unification du système métrique et l'usage du calcul décimal. Il est réélu au Conseil des Cinq-Cents où il siège jusqu'à mars 1798, se retirant ensuite de la vie publique après le 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799).