2017-12-07
2017-12-19
Création (par Véronique AUBER)
2017-12-07
Modification (par Mission.referentiels MISSION.REFERENTIELS)
2017-12-19
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2017-12-19
Notice wikipedia https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Ozanam
Notice BNF : FRBNF11918328
Les Archives nationales conservent des documents provenant de Charles Ozanam (1887-1967), petit-neveu de Frédéric Ozanam (28AS), ainsi que les archives de la Société de Saint-Vincent-de-Paul (35 AS et 79 AS)
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Ozanam, Frédéric (1813-1853)
identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France
051849
Ozanam, Frédéric (1813-1853)
Ozanam, Frédéric (1813-1853)
nom d'agent : forme préférée
Ozanam, Federico (1813-1853)
Ozanam, Federico (1813-1853)
Ozanam, Antoine-Frédéric (1813-1853)
Ozanam, Antoine-Frédéric (1813-1853)
1813-04-23
1853-08-22
1848-01-01
1849-12-31
1841-01-01
1853-08-22
1836-01-01
1841-12-31
Frédéric Ozanam naît en 1813 à Milan, où son père, médecin, s’était installé, mais, en 1816, sa famille regagne la France et s’établit définitivement à Lyon. Il entre en 1822 au Collège royal de Lyon et, en 1829, obtient son baccalauréat ès-lettres. En 1831, il s’inscrit à l’École de droit de Paris. Durant ses études, catholique convaincu, il se lie d’amitié avec les intellectuels catholiques libéraux Lamennais, Lacordaire, Lamartine, Montalembert - la plupart rédacteurs du quotidien L’Avenir - et participe à la Conférence d’histoire, lieu de discussion entre étudiants croyants et incroyants. En 1833, il s’oriente vers l’aide aux plus démunis et fonde, avec des condisciples, la Société de Saint-Vincent-de-Paul. Ayant obtenu sa licence puis un doctorat en droit, il retourne à Lyon en 1836 où devient avocat à la Cour royale. Il est toutefois davantage passionné par la littérature et prépare une thèse de doctorat ès-lettres sur Dante, qu’il soutient en 1839, ainsi que l’agrégation de littérature, qu’il obtient en 1840. En 1841, il devient suppléant de la chaire de littérature étrangère de la Sorbonne, dont il sera titulaire en 1844. En mai 1846, il est nommé chevalier de la Légion d’honneur. Fondateur avec Lacordaire de L’ère nouvelle en 1848, il passe dans l’opposition après le Coup d’état du 2 décembre 1852. Il meurt à Marseille en 1853.