2018-01-11 2020-01-17 Création (par Véronique AUBER) 2018-01-11 Modification (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2020-01-17 P. Charbonnier, 17/01/2020 : ajout lien fam vers 51915, indexation lieu revue, isni revu, description des relations d’asso Notice BNF : FRBNF15615218 Notice wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Léon_Lavedan BARGETON (René), Dictionnaire biographique des préfets (septembre 1870-mai 1982), Paris, 1994, p. 338 Archives nationales, fonds Boucher et Lavedan (305 AP). text/xml FRAN_NP_051915.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_051915.rdf Lavedan, Léon (1826-1904) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 051915 Lavedan, Léon (1826-1904) Lavedan, Léon (1826-1904) nom d'agent : forme préférée Grandlieu, Philippe de (1826-1904) Grandlieu, Philippe de (1826-1904) 1826-06-18 1904-01-27 1874-01-01 1875-12-31 1871-01-01 1874-12-31 1848-01-01 1902-12-31 Léon Lavedan (1826-1904) est né à Vouvray (Indre-et-Loire) dans une famille catholique. Il commence sa carrière de journaliste en 1848 comme directeur deLa France centraleà Blois. Il fonde ensuite avec Mgr Dupanloup, évêque d’Orléans, leMoniteurdu Loiret (1850). LeMoniteurest supprimé en 1858 par les autorités impériales et Lavedan vient à Paris, où il collabore jusqu’en 1862 àL’Ami de la Religion, dans lequel il rédige les bulletins politiques. A partir de 1862, il est rédacteur auCorrespondant, mais ses écrits dirigés contre le gouvernement impérial lui valent de passer un mois de prison à Sainte-Pélagie (mai 1864). Pendant la guerre de 1870-1871, il dirigeLe Françaisà Tours. En 1871, il est nommé par Thiers préfet de la Vienne (1871-1874) puis de la Loire-Inférieure (1874). Démis de ses fonctions, il devient administrateur-adjoint de la Bibliothèque nationale (1874-1875), puis reprend la direction duCorrespondant(1875). De mai à novembre 1877, il est nommé directeur de la presse au ministère de l’Intérieur. Lorsque le gouvernement Broglie tombe, il reprend son poste auCorrespondant, dont il restera le directeur jusqu’en 1902, et écrit des articles dansLe Figarosous le pseudonyme de Philippe de Grandlieu. Il est le beau-père d’Auguste Boucher.