2018-02-02 2020-07-07 Création (par Véronique AUBER) 2018-02-02 Modification (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2020-07-07 P. Charbonnier, 07/07/2020 : relation fam vers 51963 modifiée en relation d’asso, suppression lien fam vers 51974 présent en sens inverse, suppression lien d’asso vers 51527 (en cours de rédaction), indexation lieu revue ROBERT (Adolphe) et COUGNY (Gaston), Dictionnaire des parlementaires français comprenant tous les Mémoires des Assemblées françaises et tous les Ministres français, depuis le 1er mai 1789 jusqu’au 1er mai 1889, avec leurs noms, état civil, états de services, actes politiques, votes parlementaires, etc., , Paris, éditeur Bourloton, 1890, tome II, p. 494-495 Notice Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Dupin Notice BNF : FRBNF10708237 Archives nationales, fonds Dupin (228 AP). text/xml FRAN_NP_051966.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_051966.rdf Dupin, Philippe (1795-1846) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 051966 Dupin, Philippe (1795-1846) Dupin, Philippe (1795-1846) nom d'agent : forme préférée Dupin jeune (1795-1846) Dupin jeune (1795-1846) Dupin jeune, Philippe (1795-1846) Dupin jeune, Philippe (1795-1846) Dupin jeune, Philippe-Simon (1795-1846) Dupin jeune, Philippe-Simon (1795-1846) Dupin, Philippe-Simon (1795-1846) Dupin, Philippe-Simon (1795-1846) Dupin, Maître (1795-1846) Dupin, Maître (1795-1846) Dupin jeune, Maître (1795-1846) Dupin jeune, Maître (1795-1846) 1795-10-07 1846-02-14 1842-01-01 1846-02-14 1830-01-01 1831-12-31 1816-01-01 1846-02-14 Philippe Dupin est le fils de Charles-André Dupin (1758-1843), officier de judicature sous l’Ancien Régime, député à la Législative, membre du club des Feuillants, du Conseil des Anciens sous le Directoire, puis du Corps législatif sous le Consulat et le frère cadet d’André et de Charles Dupin. Il est né en 1795 à Varzy, dans la Nièvre. Destiné au barreau comme son frère André, il s’inscrit comme avocat à Paris en 1816 et entre dans le cabinet de son frère. Il se fait une réputation en plaidant lors d’affaires qui attirent l’attention du grand public et de la presse : l’affaire du faux comte de Sainte-Hélène ou celle du chevalier Desgraviers, prétendu créancier de Louis XVIII. Le duc d’Aumale le charge également de ses intérêts, notamment pour écarter les soupçons relatifs à l’énorme héritage que lui laisse son parrain, le duc de Condé. Lorsque son frère se retire définitivement du barreau pour se consacrer entièrement à la politique à partir de 1830, il prend la tête du cabinet : durant cette période, il défend Flora Tristan, la Ville de Paris, le journal Le Constitutionnel, etc. Député une première fois de 1830 à 1831, il est réélu de 1842 à 1846.