2019-04-30
2019-05-07
Création (par Arnaud ROMONT)
2019-04-30
Modification (par Samuel GIBIAT)
2019-05-07
Notice créée par Arnaud Romont le 28 avril 2019, validée et soumise à publication par Samuel Gibiat le 7 mai 2019.
Identifiant ARK de la notice d’autorité BnF. (https://data.bnf.fr/ark:/12148/cb13556753f)
Jean-François Potton, Dictionnaire biographique des magistrats de la Cour des comptes (1807-2007), La Documentation française, Paris, 2007.
Who’s who in France. (https://www.whoswho.fr/bio/guy-berger_22015)
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Berger, Guy (1937-....)
identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France
052256
Berger, Guy (1937-....)
Berger, Guy (1937-....)
nom d'agent : forme préférée
1937-07-15
1965-06-01
2005-07-16
Guy Berger est magistrat à la Cour des comptes
1995-01-01
1998-12-31
Guy Berger, conseiller municipal de la commune de Fontenay-aux-Roses, de 1995 à 1998.
1994-01-01
2016-12-31
Guy Berger est : - trésorier de l’Association des anciens élèves de l’École nationale d’administration (1994-1999) ; - trésorier puis vice-président de l’association Le moulin vert (2003-2014) ; - trésorier de la Ligue nationale contre le cancer (2012-2016).
1968-01-01
1988-12-31
Guy Berger est : - conseiller technique au cabinet de Robert Galley, ministre chargé de la Recherche scientifique et des Questions atomiques et spatiales (1968-1969) ; - conseiller technique au cabinet de Robert Galley, ministre des Postes et Télécommunications (1969-1972) ; - conseiller technique au cabinet de Robert Galley, ministre des Transports (1972-1973) ; - conseiller technique au cabinet de Robert Galley, ministre des Armées (1973-1974) ; - directeur du cabinet de la ministre déléguée auprès du ministre des Affaire sociales et de l’Emploi, chargée de la santé et de la famille, Michèle Barzach (1986-1988).
1965-06-01
2005-07-16
Guy Berger est magistrat de la Cour des comptes.
Décret du 23 août 1979 portant nomination de M. Guy Berger comme conseiller référendaire de 1ère Classe en remplacement de M. Lory nommé conseiller maître, et maintien de M. Berger en disponibilité.
23 août 1979
1er juin 1988
Décret du 26 août 1993 portant nomination du délégué interministériel aux professions libérales.
26 août 1993
26 septembre 1996
Décret du 22 mai 1997 portant nomination (Cour des comptes).
22 mai 1997
16 juillet 2005
Nomination à la présidence de la deuxième chambre de la Cour des comptes.
Décret du 26 juillet 2002 portant admission à la retraite et maintien en activité (Cour des comptes).
26 juillet 2002
16 juillet 2005
Décret du 31 octobre 2002 portant nomination à la commission instituée par l'article 154 de la loi de finances pour 2002.
31 octobre 2002
Arrêté du 17 juin 1992 portant nomination d'enquêteurs au comité central d'enquête sur le coût et le rendement des services publics.
17 juin 1992
Arrêté du 26 mai 1997 portant nomination au conseil général des technologies de l'information.
3 juin 1997
20 juillet 2000
Arrêté du 20 juillet 2000 portant nomination au Conseil général des technologies de l'information.
20 juillet 2000
2003
Arrêté du 10 novembre 2005 relatif à la composition de la Commission nationale consultative des droits de l'homme.
10 novembre 2005
2008
Décret du 15 mai 2000 portant promotion et nomination.
15 mai 2000
Promotion au grade d'officier de l'Ordre national du Mérite.
Décret du 31 décembre 1993 portant promotion et nomination.
31 décembre 1993
31 décembre 2015
Nomination au grade de chevalier de la Légion d'honneur.
Décret du 31 décembre 2015 portant promotion et nomination.
31 décembre 2015
Promotion au grade d'officier de la Légion d'honneur.
Guy Berger naît à Paris le 15 juillet 1937.
Licencié en droit, il poursuit ses études à l'Institut d'études politiques de Paris, puis à l'École nationale d'administration (ÉNA) dans la promotion « Stendhal » (1963-1965).
À sa sortie de l'ÉNA, Guy Berger choisit d'entrer à la Cour des comptes. Le 1er juin 1965, il y est nommé auditeur de 2e classe, puis de 1re classe le 1er décembre 1966.
En parallèle à ses fonctions de magistrat de la Cour des comptes, Guy Berger occupe les fonctions de maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris, de 1967 à 1986.
À partir de 1968, Guy Berger devient conseiller technique auprès du ministre Robert Galley, le suivant dans ses différents postes ministériels : ministère chargé de la Recherche scientifique et des Questions atomiques et spatiales (1968-1969), ministère des Postes et Télécommunications (1969-1972), ministère des Transports (1972-1973) et ministère des Armées (1973-1974).
Le 16 mars 1971, il est nommé, à la Cour des comptes, conseiller référendaire de 2e classe, puis de 1re classe le 23 août 1979.
De 1974 à 1980, Guy Berger occupe les fonctions de directeur adjoint à la direction des grandes entreprises et du développement de la Banque nationale de Paris (BNP), puis, de 1980 à 1983, de directeur adjoint des services financiers de l'entreprise CIT-Alcatel.
De 1984 à 1986, il est conseiller financier du directeur général des Télécommunications au ministère des Postes et Télécommunications (PTT), en même temps que rapporteur adjoint près le Conseil constitutionnel (1985-1986).
De 1986 à 1988, il est directeur du cabinet de la ministre déléguée auprès du ministre des Affaire sociales et de l’Emploi, chargée de la Santé et de la Famille, Michèle Barzach.
Le 1er juin 1988, Guy Berger est nommé conseiller maître à la Cour des comptes et réintègre l'institution de la rue Cambon. En plus de ses fonctions de magistrat, il occupe différents postes au sein de plusieurs organismes publics :
de 1988 à 1990, président de la commission de vérification des comptes de l’Agence spatiale européenne (ESA) ;
à partir de 1988, rapporteur près la Cour de discipline budgétaire et financière (CDBF) ;
en 1990, membre du comité d’éthique de l’hôpital Saint-Louis à Paris ;
de 1991 à 1997, vice-président de la Commission des marchés ;
de 1993 à 1996, délégué interministériel aux professions libérales ;
de 1994 à 1999, trésorier de l’Association des anciens élèves de l’ÉNA, puis président, de 1996 à 1999 ;
en 1997, président de l’instance d’évaluation de la loi du 10 janvier 1991 relative à la lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme ;
de 1997 à 2003, membre du Conseil général des technologies de l’information.
En 1995, il accède pour la première fois à un mandat électoral en devenant conseiller municipal de Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine) ; mandat qui s'achève en 1998.
Le 22 mai 1997, Guy Berger est nommé président de la deuxième chambre de la Cour des comptes.
Le 16 juillet 2002, il atteint l'âge de la retraite, mais est maintenu en activité en qualité de conseiller maître. Il conserve ses fonctions de président de chambre tout en étant, à partir de 2002, membre de la Commission de vérification des comptes spéciaux.
En 2003, Guy Berger est chargé par le ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l’État et de l’Aménagement du territoire, Jean-Paul Delevoye, d’une mission relative à l’adaptation des textes encadrant le départ de fonctionnaires vers des activités privées.
Après son départ à la retraite de la Cour des comptes, le 16 juillet 2005, Guy Berger poursuit ses activités, notamment :
associatives : trésorier puis vice-président de l’association Le moulin vert (2003-2014), président du comité de Paris de la Ligue contre le cancer (2005-2017), administrateur (depuis 2007), puis trésorier (2012-2016) de la Ligue nationale contre le cancer, secrétaire général (depuis 2006), puis président (depuis 2009) de la Société Chateaubriand ;
éditoriales : administrateur de la société Commentaire et membre du comité de rédaction de la revue Commentaire, fondée par Raymond Aron ;
institutionnelles : membre de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (2005-2008), administrateur (2005-2010), puis membre du conseil de surveillance (2010-2015) de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP).
Guy Berger est officier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.