2021-06-21 2021-12-07 Création (par Constance DE GAULMYN) 2021-06-21 Il n'existe ni notice Wikipédia, ni numéro ISNI. Modification (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2021-08-18 Modification (par Isabelle ARISTIDE-HASTIR) 2021-12-07 Ajout de la forme internationale du nom Archives nationales, fonds Dampierre (289AP). (https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/POG/FRAN_POG_05/p-23v5oobsy-1erq4ydj5gz6r) Archives départementales de Paris, 7 D 125 : acte de décès d’Amélie de Lamoricière, n°681, 28 avril 1905. Notice BnF n°FRBNF16970323. text/xml FRAN_NP_052982.xml application/rdf+xml FRAN_Agent_052982.rdf Lamoricière, Amélie Gaillard de Ferré d’Auberville (1827-1905 ; comtesse de) identifiant de l'agent dans le référentiel des producteurs du SIA des Archives nationales de France 052982 Lamoricière, Amélie Gaillard de Ferré d’Auberville (1827-1905 ; comtesse de) Lamoricière, Amélie Gaillard de Ferré d’Auberville (1827-1905 ; comtesse de) nom d'agent : forme préférée Auberville, Marie Amélie Gaillard de Ferré d’ (1827-1905) Auberville, Marie Amélie Gaillard de Ferré d’ (1827-1905) La Moricière, Madame de (1827-1905) La Moricière, Madame de (1827-1905) 1827-12-24 1905-04-26 Marie-AmélieGaillard d’Auberville est la fille du comte Louis-Adolphe Gaillard de Ferré d’Auberville et de son épouse Marie Paule Sophie de Montagu-Beaune. Ils ont déjà une fille Sabine quand elle naît le 24 décembre 1827. Le 21 avril 1847, elle épouse Christophe Louis Léon Juchault de Lamoricière dont elle a quatre enfants. Leur fils unique Michel décède en 1857. Henriette naît en 1850. Elle épouse François de Maistre mais meurt peu de temps après en 1869. Amélie de Lamoricière reste en contact épistolaire régulier avec son gendre. Enfin, Isabelle, née en 1853, se marie avec le comte Aymar de Dampierre puis Henry de Castries. Proche de la famille d’Orléans, Amélie de Lamoricière séjourne même au château d’Eu en 1878. En 1880, elle vend le château de Prouzel, dans lequel est mort son mari. Elle meurt le 26 avril 1905 dans son appartement de la rue Vaneau, à Paris, ayant laissé la jouissance du château familial du Chillon à sa fille Isabelle. Son éloge funèbre est prononcé par l’évêque d’Angers le 13 mai 1905.