While this Kalpataru for the sages, this moon for the lotuses who are the two hands of kings of the earth, this favorite of the earth, of victory, of brilliance, of fortune, of glory, of eloquence, governed the earth,
The only sharpness was found in a pair of eyes, instability in their eyelashes, darkness in their hair, weakness in their delicate female bodies, and mutual pressure in their pairs of breasts.
His virtuous wives were named Kaṟṟaḷi and Varaguṇā ;
Kaṟṟaḷi was the mother of the very sweet Parāntaka and of Aditya.
The venerable Srī-Mallikārjuna, from Mathurā, born into the gotra of the Ātreyas, disciple of Vidyārāśi (the treasure of knowledge) who is a treasure of asceticism, was a master of the entirety of the Vedas.
After having established the triple vimāna and having installed Maheśvara/Śiva,
In his own name and the names of his wives, Bhūti donated a great maṭha.
Il y eut jadis celui qui s'empara les hordes d’éléphants du Seigneur des Pāṇḍya
...Il s'agit d'une strophe lacunaire.
Dans la lignée de celui-ciLe roi décrit dans la strophe lacunaire qui précède., naquit ParavīrajitCelui qui vainc l’héroïsme de ses ennemis. ; de celui-là naquit le conquérant du Maḷava, le glorieux VīratuṅgaCelui dont l’héroïsme est élevé. ;
De lui naquit l’incomparable connu sous le nom d'AtivīraCelui qui est extrêmement héroïque. ; de lui il y eut SaṃghakṛtLe créateur de saṅgha. ;
De lui naquit le glorieux NṛpakesarinLe lion parmi les rois. qui, enfant, grandit parmi les serpents uragaisPossible référence à Uragapura, littéralement "la ville des serpents", c'est-à-dire Uraiyūr, une des capitales des Cōḻa. ;
Son fils, connu sous le nom de ParadurgamardanaLe destructeur des forts des ennemis., fut le conquérant de Vātāpi.
Son fils fut SamarābhirāmaCelui qui est splendide au combat., dont l'éclat est pareil à celui de SutrāmanCelui qui protège bien, à savoir Indra, le roi des dieux.,
qui, à la bataille d’Adhirājamaṅgala, tua CāḷukkiLe roi Cāḷukya..
De lui, l’emblème de la lignée de YaduRoi mythique, ancêtre de Kṛṣṇa et des rois de lignée lunaire., l’épouseLittéralement: la très chère. fut la fille du glorieux roi Coḷa, la bien nommée Anupamā L’incomparable, la sans pareille.,
Comme le furent en personne KamalāLa dame au lotus, à savoir Lakṣmī. pour AcyutaL'impérissable, à savoir Viṣṇu., Sarasvatī pour PadmodbhavaCelui qui est né du lotus, à savoir Brahmā., GirijāLa fille de la montagne, à savoir Pārvatī. pour HaraŚiva..
Elle porta son filsLittéralement: en elle, de lui, il y eut. Bhūti, qui porta par la suite l’autre nom de MinnāmaḷaForme sanskritisée du tamoul Miṇṇā-maḻai, « pluie qui ne lance pas d'éclair ».,
Roi qui obtint au combat l’autre nom de glorieux VikramakesarinLe lion vaillant..
Il rendit rouge l’eau de la Kāverī avec le sang de l’armée du Pallava,
Ce héros qui, au combat, vainquit VīrapāṇḍyaAlternativement: l’héroïque Pāṇḍya. et fut la mort pour le VañciveḷLe Vēḷ ou Vēḷir (nom de caste martiale) de Vañci, c'est-à-dire Karūr, capitale des rois Cēra. Descendant et vassal des Cōḻa, Bhūti est présenté comme vainqueurs des autres grands rois du pays tamoul: le Pallava, le Pāṇḍya et le Cēra..
Après avoir tué les éléphants qu’étaient ses ennemis furieux,
Vikramakesarin séjournait vasanLittéralement : séjournant. Il faut lire le vers 6, sans verbe principal, avec le vers 7.
Dans son palaisLittéralement : à l’intérieur de l’espace de son palais (māḷikā + vivara + udara). qui est le point culminant adrīndraLittéralement : le roi des monts. de la ville de Koṭumpāḷūr.
Tandis que ce kalpataruArbre qui exauce les désirs. pour les sages, cette lune pour les lotus que sont les deux mains des rois de la terreLe terme ambuja désigne le lotus de jour qui se ferme la nuit. Il faut comprendre ici que les mains des rois se joignent pour rendre hommage à Vikramakesarin, comme les ambuja se ferment la nuit devant la lune. Vikramakesarin appartient en effet à la lignée lunaire., ce favori de la terre, de la victoire, du lustre ramā, de la fortune, de la gloire et de la paroleOu: de l’éloquence. gouvernait la terre,
Il n’y avait d'acéré que les regardsLittéralement: les paires d’yeux, d’instable que les cils, de noir que les cheveux, de ténu que les corps, de comprimé que les paires de seins des femmes délicatesIl faut comprendre que le règne du roi est parfait: les aspects négatifs n'existent sous son règne qu'en leurs positifs appliqués aux femmes..
Ses épouses vertueuses furent les dénommées Kaṟṟaḷi et Varaguṇā Varaguṇa en composé. ;
Kaṟṟaḷi fut la mère des extrêmement beauxLe redoublement de kamra dans le composé semble avoir valeur intensive. Parāntaka et Āditya.
Né dans le gotra des Ātreya, le vénérable et glorieux Mallikārjuna, originaire de Mathurā, disciple du trésor d’austérité VidyārāśiTrésor de connaissance., était un connaisseur de l’entièreté des Veda.
Après avoir établi ce triple vimāna
Et y avoir installé MaheśvaraŚiva.,
En son propre nom et en celui de ses deux bien-aimées,
IlBhūti Vikramakesarin. luiVidyārāśi. donna un grand monastère.
A cet éminent ascète de la doctrine ādhyāna? des Kālamukha, le Yadava
A donné un grand monastère dont dépendent onze villages.
Ce roi a donné un grand monastère à ce maître pour la jouissance de cinquante ascètes Asitavaktra
Et, pour le culte de Maheśvara, des offrandes de nourriture naivedya, du parfum gandha, des fleurs kusuma, de l'akṣataTurmeric selon ., de l'encens dhūpa, des lampes dīpa, du bétel tāmbūla, et