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Halantas. Final M is quite small and raised, consisting of a circle with a single sinuous tail on the top left (much like a lowercase delta, δ). E.g. l9 trayastriṁśataM. Final T is a full-sized ta without headmark, with a short and sinuous vertical tail at the top right, much like a repha. E.g. l8 anvapalayaT. Final N is a raised and reduced na with no headmark an elongated tail that bends slightly to the right.
Original punctuation marks are pairs of straight verticals about the height of a character body, usually, but not always, with a small hook at the top, bending at a right angle to the left. Final N is also a full-size na without headmark, with a vertical tail curving to the right (not a sinuous one). E.g. l11 māsāN.
Other palaeographic observations. Dependent o is sometimes formed with the modern/cursive single stroke that starts at the top left of a consonant, turns up and right, has a notch in the middle, then bends down on the right and extends below the headline. Fleet reads some of these as au and emends (e.g. l1 sagautrānāṁ, l47 gautama-gautra), but reads others as the expected o (e.g. l11 kokkili, jyeṣṭho). I prefer, in most instances, to read the ambiguous grapheme as the expected vowel. On a few occasions, where o is expected yet the stroke is particularly asymmetrical (the right hump being much larger) and/or its tail extends particularly far down, I read au and normalise to o. (These include l11 kaukkili, where I think au was definitely intended by the scribe. Is this a Sanskrit derivation of the name from kokila?) Instances where I read the ambiguous stroke as o are marked in the XML with a comment. See also the apparatus to tāḷadhipopo in line 26.
Sandhi of a final s with an initial ṣ is written as a double ṣ, clearly not a jihvāmūlīya. E.g. l11 kokkiliṣ ṣaṇ; l13 varddhanaṣ ṣaṭ. Upadhmānīya is used repeatedly and is in shape identical to ṟa, though slightly smaller. Its use is quite consistent; the only visarga before p is in line 61 where a sentence end is to be understood after asyāvadhayaḥ. On two other occasions, visarga/upadhmānīya is omitted before p (l10 yuvarāja paṁca; l39 hetu pradveṣi, falling on a pāda boundary).
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svasti
trānāṁ hārīti-putrāṇāṁ kauśikī-vara-prasāda-labdha-rājyānāṁ mā
t
n-nārāya
nekṣaṇa-kṣa
bhr̥
riṣṇos satyāśraya-vallabhendrasya bhrātā kubja-viṣṇuvarddhano
varṣ
s trayastriṁśataM
tad-anujo maṁ
ṁhas trayodaśa
ṣṭho bhrātā vi
yāditya-bha
śataM
-vijiti-saṁprāpta-k
ṁśataM
nana-kiraṇapura-dahana-vikhyāta-k
tu
tmajaś cālukya-bhīma-bhūpālas triṁśataM
tasyā
gra
dityaṁ kr̥ta-kaṇṭhikā-paṭṭa-bandhābh
tāḷ
lukya-bhīma-bhūpātmajo vikramāditya-rājaḥ Ekādaśa mā
sān bhuvam a
sa
rvva-lokāśraya-śrī-viṣṇuvarddhana-mahārāj
heśvaraḫ pa
ś cthan
ḫ pāgunavara-viṣaya-nivāsino rāṣṭrak
hā
viditam astu vaḥ
tasmai tat-k
-san
Asy
yaḥ
Greetings. Satyāśraya Vallabhendra
After him his son Vijayāditya
His firstborn son Ammarāja
Having crushed him in battle, Bhīma—whose strength resembled that of
That same
Vijayāditya
The intense energy
While this king, who like
that shelter of all the world
Let it be known to you
His son, renowned in all quarters by his hosts of good qualities, was the Soma sacrificer Mādhava of great virtue. A full moon in the sky that was that lineage of excellent Brahmins, he honoured his kin and friends with outstanding generosity.
His son is Viddamayya here, worthy of laudation by the flocks of the virtuous and an accomplished master of a whole array of arts, whose wisdom has been polished by all the subject matters taught in the Vedas
The house of this man is home to
Pure in descent and even purer in conduct, proven worthy of high office
Being pleased with his excessive troubles
Its boundaries
Many
He who would seize land, whether given by himself or by another, shall be born as a worm in faeces for sixty thousand years.
Prospérité ! Kubja Viṣṇuvardhana, frère de Satyāśraya Vallabhendra, ornement de la lignée des Calukya, illustres, du même
immédiatement
le fils aîné de ce dernier, Ammarāja, pendant sept années ;
après avoir chassé le fils de celui-ci, Vijayāditya, alors qu’il était encore jeune et avait été sacré par le bandeau
ayant vaincu celui-ci au combat, Bhīma, fils d’Amma, dont la force était égale à celle de Bhīma, étant un guerrier, protègea la terre pendant huit mois ;
puis, ayant tué celui-ci lors d’une bataille, le fils aîné de Tāha, le roi Malla, régna ensuite pendant sept années ;
après avoir chassé ce dernier, le roi Bhīma, ayant ceint le bandeau
et il avait une triple obsession dans ce monde :
l’irréprochable étude des traités et des armes, plus encore la protection de tous les hommes,
l’union avec la compréhension des traités,
Dans
Cause de l’éveil des lotus que sont ses alliés,
cause de la ruine de ces ténèbres que sont ses ennemis,
son immense majesté resplendit sur cette terre,
pure comme l’éclat du soleil.
Lorsque ce roi gouverne la terre et toute l’humanité, comblée de richesses,
il est pareil au fils de Dharma, doué du
Lui, refuge de tous les hommes, l’illustre Viṣṇuvardhana, roi suprême des grands rois, excellent dévôt de Maheśvara, très pieux, méditant aux pieds de sa mère et de son père, Calukya Bhīma Gaṇḍa Mahendra, installé dans le pavillon où
qu’il soit connu de vous que :
l’illustre brahmane Tūrkama, né dans le gotra de Gautama, excellent deux-fois-né, foulant le chemin du bien, jouissant de mérites,
n’a pourtant pas reçu une terre donnée par les maîtres de la surface de la terre, nés dans une excellente lignée,
lui qui maîtrise la lecture progressive
Son fils, loué sur l’étendue de la terre pour le flot de ses vertus, pleine lune dans le ciel d’une lignée d’excellents deux-fois nés, qui honore ses parents et ses amis avec des présents généreux, pourvu de grandes vertus, sacrificateur de Soma à Mādhava ;
son fils, qui mérité l’éloge des hommes vertueux,
qui connaît parfaitement les parties et le tout,
qui posséde une claire connaissance de tous les sujets évoqués dans la Śruti et la Smr̥ti, intelligent,
est ici
La demeure de cet homme est la demeure des hommes de bien ; ses richesses sont pourvues d’un but grâce aux dons qu’il consentit aux gens vertueux ; tout l’espace compris entre les horizons est orné par sa gloire.
Doué d’une lignée resplendissante, doué d’une conduite tout à fait irréprochable
dans les tâches qui lui sont confiées, parfaitement purifié dans les épreuves des vertus,
honoré par les gens de bien, dont le chemin doit être cultivé par les hommes de bien,
dont les paroles et actes
Nous, très touchés par l’excès de souffrance qu’il a subi,
Les limites sont : à l’est Krañca, au sud Kranūru, à l’ouest et au nord Palukonu. Aucune charge ne doit lui être imposée.
Beaucoup ont donné une terre, beaucoup l’ont protégée, celui qui possède la terre en possède le fruit.
Qu’elle soit donnée par lui ou par un autre, celui qui prend une terre renaît ver de terre dans excréments pendant soixante mille ans.
Late caesura in v1a (śārdūlavikrīḍita), vijayā/dityo. Also compound across odd pāda boundary in v1c-d. Early caesura in v4c (mandākrāntā), dhaneś/odakeśādi. Regular fused (late) caesura in v7b (śārdūlavikrīḍita), kṣiti-talā/dhīśais.
The present inscription is the only known record to date that has been understood to mention a Bhīma, son of Amma, whom Fleet (
A
Edited from the original plates by J. F. Fleet (