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Halantas. The only clear instance of final M is at the very end, l68 tārārkaM. This is a circle with a wiggly tail. Final T is a slightly reduced ta without an extended tail, e.g. l5 apālayaT; l30 bhr̥T; l48 ajījanaT. The principal difference between ta and T may be that ta has a regular V-shaped headmark, while T has a more lopsided stroke on the top. Final N is a reduced and simplified na, with a straight vertical stem that extends only up to the headline, e.g. l7 māsāN. Rare final K occurs in l26 satyavāK, but it is indistinct in my scanned estampage. It may consist of the lower part of a regular ka (an oval with two arms), and perhaps a single upward tail above that. Rare final Ṭ in l40 rāṬ is also unclear; it appears to be much like ṭa, but may have a vertical tail.
Original punctuation marks. The opening symbol is faint and somewhat blurred, but is definitely a flower with four cardinal petals and probably four intercardinal spikes. Regular punctuation marks are plain vertical bars, the same height as or slightly shorter than a character body. Lakshmana Rao transcribes the final punctuation mark (l68 tārārkaM||) as a double daṇḍa. Nothing resembling a vertical can be made out here in the scanned rubbing and I think it may in fact be a different symbol, if one is present at all.
Other palaeographic observations. Lakshmana Rao (
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-vara-prasāda-labdha-rājyā
yaṇa-prasāda-samāsādita-vara-
vabhr̥
bja-viṣṇuvarddhan
ṁśataṁ| tad-anuje
tat-putro jayasi
varddhanas tam uccāṭya sapta-triṁśat
naḥ ṣaṭtriṁśataṁ| tat-suto vijayāditya-narendra-mr̥garājaś cāṣṭacatvāriṁśatsaṁ| tat-sutaḥ kali-viṣṇuva
rddhano
kramāditya-bhūpa
tyaḥ ṣaṇ māsāN| tat-suto
sam ekaṁ| taṁ jitvā cālukya-
suto yuddhamallaḥ sapta va
ṇi| tasya mahe
mārābhaḥ khalu
-kaliṁga-sahitaṁ ra
s
ditya-mahārājādhi
dhyāyī velanāṇḍu-
viditam a
stu vaḥ
tasmai gadattaṁ grāma
tasya grāmasyāvadhayaḥ
taḥ ceṟakuṁballi
syopari na kenacid bādhā ka
vyās
k
the. I am not sure what the point of this note was. The definiteanusvāra is placed on the syllablebā
Greetings. Satyāśraya Vallabhendra
Having sought the aid of the Vallabha
Having first defeated the invincible ones,
While this king rules, the land, devoted to righteousness
That shelter of the entire universe
Let it be known to you
His son, renowned as Nr̥pakāma, is true to his promises and
He bears the name Kārmukārjuna
How strange!
As one whose valour is strongly manifest in striking down hordes of enemy rulers in battle; as one whose generosity is fascinating because it pleases Brahmins, dependants and supplicants; as one whose moon-white reputation brightens the entire earth—so does this good Kārmukārjuna, valorous and puissant Lord of the Lake, shine.
Gracious Nr̥pakāma, Lord of the Lake, shines immaculate like a trove of rays, the equal of the sun, eternally on the rise, greatly delighting the lotuses that are the faces of his subjects and dispelling the darkness that is his foes.
His Majesty King
Bright in virtue, brightening the circle of directions with his bright fame, having subdued his enemies he, a devotee of Bhava
Gracious Nr̥pakāma, the fearless devastator of enemies, foremost of bowmen, accomplished in majesty, modesty, tolerance, authority and compassion, blazing like the sun and ensconced in truthfulness, ever shines as a destroyer of sin like a veritable Śauri
He shines, who alone and on his own overpowered and killed five bravos with just a knife, and then with his bow
As the auspicious women Miss Speech
Endowed with all
The one bearing the epithet Satyaballāta begat a worthy son called Gaṇḍanārāyaṇa on that faithful lady.
As Guha
The majestic Gaṇḍanārāyaṇa, the greatly intelligent eldest son of Nr̥pakāma the Lord of the Lake, has a swelling chest, the shoulders of a bull and valour like that of Skanda. He is great in his undertakings, great in his efforts, great of arm and great in strength, and is a talented rider of horses and elephants.
He is clever, valiant, pure and skillful, possessed of moral, good conduct and virtues, the most excellent of bow-wielders and also most excellent in all arts.
This sun among men who is called Gaṇḍanārāyaṇa is the foremost of all weapon-wielders and is a bee
To him Emperor
To that Gaṇḍanārāyaṇa I have granted the village named Āruṁbāka in Velanāṇḍu district
Beautiful in his rising, the good nobleman
The boundaries of that village
He who would seize land, whether given by himself or by another, shall be born as a worm in faeces for sixty thousand years.
Vyāsa too has said,
Many
The executor
Prospérité ! Kubja Viṣṇuvardhana, frère de Satyāśraya Vallabhendra, qui orne la dynastie des Cālukya, illustres, du même
Le seigneur Bādapa, auquel Vallabha était soumis, roi surnommé Karṇa, chassa du pays le puissant roi nommé Amma.
Ayant vaincu les Dāya, écrasé la multitude de ses ennemis, donné aux mendiants un amas de biens,
honoré ses alliés, lui dont la haute gloire était ornée par la foule de toutes ses vertus,
fier, intelligent,
Sous son règne, doté d’une abondance de terres cultivées de toutes sortes, le pays est voué au dharma, exempt de calamités, de maladie et de voleur.
Tel Manu pour tous les êtres, tel un père pour les foules innombrables de serviteurs, tel Kāma pour les les femmes amoureuses, pour les suppliants tel l’arbre à vœux,
celui-ci, refuge de l’univers entier, illustre, Vijayāditya, souverain suprême des grands rois, excellent seigneur, excellent dévôt de Māheśvara, très pieux, qui médite aux pieds de sa mère et de son père, ordonne ceci à tous les chefs de famille rassemblés, habitant le
l’excellent archer, dont on loue la grandeur incomparable
Son fils, loué sous le nom de Nr̥pakāma, connaisseur de vérité, et qui acquit la science de l’arc, dont l’abondante vaillance est célèbre, dans son rāṣṭra, sur les routes, le vent n’emporte pas les vêtements des voyageurs, les voleurs .... par les flammes de son tāpas.
Du fait que ses ennemis soient vaincus par son arc, il porte le nom de Kārmukārjuna,
Les nombreux brahmanes avisés le tiennent pour le maître Vyāsa, les rois pour leur allié, en raison de son affection ... pour leur père, les affligés pour l’arbre à vœux, et pourtant voilà qui est merveilleux : les archers, bien qu’il soit seul, le prennent pour un puissant Pārtha qui se démultiplierait, cet illustre et excellent roi Kārmukārjjuna, et les femmes habitées par Kāma pour Kāma.
Lui, dont la vaillance est immense, qui se révèle un obstacle dans les combats contre les multitudes de rois ennemis,
dont les dons charmants satisfont les brahmanes, ceux qui s’en remettent à lui et les affligés,
dont la gloire, blanche comme la lune, illumine la terre entière,
le valeureux, bon et puissant Kārmukārjuna Saronātha
Le vertueux Nr̥pakāma Saraḥpati resplendit, source de joie pour ces lotus que sont les visages des hommes qui dépendent de lui, masse de rayons en perpétuelle ascension sur cette terre, irréprochable, pareil au soleil qui repousserait ces ténèbres que sont ses ennemis.
Orné d’un collier de perles que sont ses vertus profondes : générosité, immense compassion, force, habileté manifeste, pureté, patience, fierté et dévotion à l’égard de Śiva insurpassable, source de joie pour les malheureux, les hommes sans protection, les danseurs, les aveugles, les êtres démunis, les poètes, les grands orateurs et les deux-fois nés, glorieux, dont on célèbre la gloire, victorieux dans les batailles, lui, le roi illustre Satyaballāta resplendit.
Doué de vertus resplendissantes, d’une gloire resplendissante, maître du cercles des horizons qu’il fait resplendir, lui dont les ennemis sont domptés,
lieu de naissance de la compassion suscitée par le cycle des existences et possédant les jouissances qu’apportent la prospérité,
Doté de la splendeur du soleil, destructeur des ennemis, excellent archer, doué de prospérité, modestie, patience, autorité, compassion, exempt de crainte, destructeur des vices, il brille sans cesse sur cette terre, voué à la vérité, lui, le bon Nr̥pakāma, Śauri.
Lui qui, seul, tua, avec son poignard, cinq héros, grâce à sa force, et, avec son arc bandé aussitôt que saisi, des milliers d’ennemis lors d’un combat, resplendit.
De même que les épouses de Brahma, Īśa, Indra, Hr̥ṣīkeśa, Kumāra étaient respectivement la déesse de la Parole, Umā, Śacī, Lakṣmī, Jayaśrī,
de même, l’aimable épouse de Nr̥pakāma Saraḥpati, pareil à ces
pourvue de toutes les marques auspicieuses, parée de tous les ornements, connaissant toute l’essence des devoirs des femmes, épouse à la conduite pure.
De cette femme fidèlee, celui qui porte le nom de Satyaballāta
donna naissance à un fils méritant nommé Gaṇḍanārāyaṇa.
De même que Guha naquit d’Umā et Vr̥ṣāṁka, Jayanta de Śacī et d’Indra,
le nommé Jayanta fut le fils de ces deux
Il avait un large torse et des épaules de taureau, un courage pareil à celui de Skanda, il était très audacieux, très persévérant, et possédait des bras puissants et une grande force,
fils aîné de Nr̥pakāma Saronātha, très intelligent, l’illustre Gaṇḍanārāyaṇa, expert dans la monte des éléphants et des chevaux,
adroit, instruit, pur, habile par nature, doué d’une bonne conduite et de vertus, le meilleur des archers et le meilleur dans tous les arts,
abeille sur les lotus que sont les pieds de sa mère et de son père, soleil pour les hommes, lui, nommé Gaṇḍanārāyaṇa, le meilleur de tous les hommes en armes.
A celui-ci, Bādapa roi suprême des rois, rois des rois, satisfait, donna le grand village célèbre sous le nom d’Āruṁbāka.
J’ai donné à ce Gaṇḍanārāyaṇa, le village nommé Āruṁbāka, dans le viṣaya de Velanāṇḍu, exempté de toute taxe,
Jeune héros, qu’il faut compter parmi les meilleurs guerriers, Saras pour les hommes, connaissant tous les Āgama, doué de compassion, destructueur des orgueilleux ennemis, lui dont l’ascension est charmante, resplendit, le bon et noble Candena.
Les limites de ce villages
Qu’elle soit donnée par lui ou par un autre, celui qui prend une terre renaît ver de terre dans des excréments pendant soixante mille ans.
Vyāsa a dit :
Beaucoup ont donné une terre, beaucoup l’ont protégée, celui qui possède cette terre en possède les bénéfices.
L’exécuteur est le kaṭakanr̥pa, le poète est Ayyanabhaṭṭa, qui connaît tous les traités. L’édit a été gravé par Bhaṭṭadeva,
According to Lakshmana Rao, the last letter of the seal legend (śa) is below the rest, to the proper right of the boar emblem. The seal is rather weathered and the published photo is not too clear, so I can only guess where this may be.
The second plate is broken in a roughly vertical line affecting all text lines, and with a small fragment between the two lost, affecting the first three lines of 2r and the last three lines of 2r. I see no need to encode the fragments in the edition.
As Lakshmana Rao observes, the
The caesura is obscured by sandhi in v2a and b (sragdharā, second caesura in both cases) and 11c (śārdūlavikrīḍita), vāgm:īndra. There is a flat yatibhaṅga in verse 8 (śārdūlavikrīḍita), pāda c, splitting ane:kam. Also in 9b (śārdūlavikrīḍita), splitting san:tr̥pti. Also in 11b, splitting mukt:ā-hāra. Verse 11 (śārdūlavikrīḍita) has a compound across pādas ab. The enjambement of v24ab (anuṣṭubh) involves a break in ādhi/rājo. Interesting is the use of a punctuation mark at the end of v15c (anuṣṭubh), where a compound continues into the next quarter. In v28 (āryā) there is syncopation from the second to the third foot of the second half.
The prose passage
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