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Halantas. Final T is s full-sized stylised ta (a spiral without a headmark) plus a curling tail on top like an inverted cedilla, e.g. l7 apālayaT. It may also be smaller in size and raised, as in l37 āsīT. Final N is a simplified but full-size character somewhat resembling na without a headmark, and the curled tail, e.g. l11 sāN.
Original punctuation marks are straight verticals with a small hook or a wedge-like headmark at the top. The opening symbol is a flower comprised of a circle, four petals in the cardinal directions, and four spikes in the intercardinals, all detached from the centre.
Other palaeographic observations. Anusvāra is normally written inline at headline height. It may be separated from the preceding consonant as in l16-17 tri/ṁśataṁ, but this is not visible in my scanned facsimile. Dependent o is normally written with two separate strokes. Cursive o (marked in the text with an XML comment but not encoded) is rare, occurring in l10 kokkili (which may have been intended for kaukkili) and l52 Aho.
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rīti-putrāṇāṁ kauśikī-vara-prasāda-labdha-rājyānāṁ mātr̥-gaṇa-paripāli
tānāṁ svā
-samāsāi
ṇḍalāṇā
lukyānāṁ kulam alaṁkariṣṇoḥ satyāśraya-vallabhendrasya bhrātā ku
bja-viṣṇuvarddhano
jo jayasiṁhas trayastriṁśataṁ
rddhano nava
jayasiṁ
sāN
triṁśataṁ
to viṣṇuvarddh
rājaś cāṣṭacatvāriṁśataṁ
tat-suto guṇagā
ja-vikramāditya-bhūp
ṁśataṁ
ṇ māsāN
vijayā
taṁ jitvā
sāN
ṇi
jo dvādaśa varṣāṇi
sa sakala-ripu-nr̥pati-makuṭa-taṭa-ghaṭita-maṇi
-gaṇa-madhu
to natoddha
ditya-mahār
nāṇḍu-viṣaya-nivāsino rāṣṭrak
ti
tasmai koramiya-nāmne suvarṇṇa
-bhāṇḍāgāra-śrīkaraṇa-mukhyāya Elavaṟṟu nāma grāmas sarvva-kara-parihāreṇāgrahārī
kr̥tyodaka-pū
Asyāvadhayaḥ
pū
ti-paścimābhyāṁ preṁpaṟti sīmā
Asyopari na kenacid bādhā karttavyā
Ājñaptiḥ kaṭaka-rājaḥ
in Bhīma being here called also the son of Yuddhamalla II, we have another instance of the custom referred to by me in(not traced). I cannot accept this and feel certain that this is a blunder of the engraver. The wording at this locus isDynasties of the Kanarese Districts , p. 48, note 1.
Greetings. Satyāśraya Vallabhendra
To him
The palms of his hands and the soles of his feet are marked with the omens of the conch,
Surmounting the Mind-Born
The pair of lotuses, which are his feet, are kissed all around by swarms of bees, which are the clusters of jewels fitted to the surfaces of the crowns of all enemy kings,
There was
In that
His son, a cool-rayed
With his lawful wife Cānamavvā
Their son, named Koramiya, was like the earth
Being an abode of delightful quick wit and sophistication, he was lovingly nurtured by our
The eloquence that resides in this extremely witty man ever ridicules that The eloquence which abides in him, the most clever one (and) which is (like) the sharp edge of a sword to wicked people, always laughs to scorn the woman Vāc who is dear to polished people and to Jalajabhava and to Bahumukha,
noting that Jalajabhava is Brahmā (born in a lotus) and Bahumukha may be Viṣṇu (as Sahasrānana). I find Fleet’s emendation unlikely, because while
How strange it is that Good people say how wonderful it is that, through his innate excellence, there is produced a power that is worthy to be praised by
His emendation, though more invasive than mine (see the apparatus to line 48), is not implausible and his translation is also possible. However, I feel that the terms
This one named Koramiya is indeed the supreme connoisseur among connoisseurs, the wittiest among the witty, and surpassingly knowledgeable among scholars.
It can be established that Koramiya is a worthy It is well established that Koramiya is essentially a man, (since) he enjoys the abiding condition of preserving the hearts of all kings, (and since) he is not to be purchased for any value, (and since) he is possessed of excellent achievements that are like pearls.
I do not think the composer would have gone to the trouble of writing a stanza just to say that the donee is “essentially a man”, and Fleet’s rendering of what he (without my emendation) sees as a long compound into “enjoys the abiding condition of preserving the hearts of all kings” does not make much sense. If, however, we read the stanza in two different ways, once as applied to the donee and once to a
Hey, great his mind is inclined to all kinds of enjoyment
, but I fail to see how this could support a claim for great virtue (much less, as Fleet puts it, religious merit). Given this, I feel we must search for alternative interpretations of all the statements, which would make their purport the opposite. While the text
To that one named Koramiya, the head official
Its boundaries
Many
He who would seize land, whether given by himself or by another, shall be born as a worm in faeces for sixty thousand years.
The executor
Prospérité ! Le roi Kubja Viṣṇuvardhana, frère de Satyāśraya Vallabhendra, qui orne la dynastie des Cālukya, illustres, du même
de ce dernier, manifestation de Maheśvara, et de Lokamahādevī, dont l’aspect était semblable à celui d’Umā, pareil à Kumāra, naquit le nommé Ammarāja.
Les paumes de ses mains et les plantes de ses pieds portent les marques du lotus, du parasol, du panache, de la coupe et du croc à éléphant. Les barres d’acier de ses deux bras charmants se déploient jusqu’à ses genoux, son torse est pareil au plateau du Roi des Montagnes.
Humiliant par sa beauté Manoja, par sa puissance le grand Indra, le soleil par son vaste éclat, Et Hara par le fait de brûler les forteresses ennemies,
Celui dont les deux pieds sont des lotus baisés par les essaims d’abeilles que sont les multiples gemmes serties sur l’orbe des diadèmes de tous les souverains ennemis, qui adoptait l’attitude d’une abeille fôlatrant sur les lotus que sont les pieds du dieu aux yeux en nombre impair, exalté par son orgueil et devant lequel tous les hommes arrogants s’inclinaient, refuge de l’univers entier, l’illustre Vijayāditya, souverain suprême des grands rois, premier seigneur, illustre seigneur, très pieux, ayant convoqué tous les chefs de familles de la circonscription de Velanāṇḍu, les rāṣṭrakūṭa en tête, ordonne ceci :
Existait la famille des Kāśyapa, source d’excellents poètes et d’hommes savants, renommée, dont la prospérité méritait la vénération, siège de nombreuses vertus, demeure d’hommes très vertueux, séjour propre des austérités.
Là naquit celui dont le corps était immaculé grâce à l’observance des six préceptes et grâce aux connaisances qui conviennent aux brahmanes, qui connaissait les Veda et qui possèdait la connaissance de l’ensemble des traités, le nommé Viddamaya, dont la renommée était répandue.
Lune pour l’océan de la lignée des brahmanes, soleil dont les rayons éclairaient les massifs de lotus qu’étaient les hommes savants,
Il devint semblable à Vaśiṣtḥa, surpassé par Arundhatī, grâce à Ānamavvā, fidèle à son époux, femme vertueuse.
Son fils, dont le nom était Koramiya, son successeur légitime, généreux, dont la beauté n’avait été observée sur aucun autre et ni ouie auparavant, lui qui portait la terre, semblable à la terre, fut élevé par l’illustre Lokamahādevī, notre chère Mère, appelée « séjour d’une amabilité et d’une courtoisie charmantes ».
L’éloquence, qui réside en cet homme très intelligent, rit de la désirable Vāc, tranchant les hommes mauvais, toujours chère aux hommes courtois, à Jalabhava
« A son contact, naît, du fait de la bonté qui l’accompagne depuis sa naissance, une puissance qui mérite les louanges du maître : cela est merveille ! » Telles sont les paroles des gens de bien.
Celui précisément qui porte le nom de Koramiya, le plus raffiné des hommes raffinés, le plus courtois des hommes courtois, est tout à fait le plus savant des hommes savants.
Il est établi que celui qui a en partage une place dans le cœur des rois est objet de révérence, doué de vertus que l’on ne saurait acheter à prix d’argent, dont les actions sont des perles, Koramiya, réellement un homme.
Son intelligence discerne la connaissance de l’avenir, ses actes se soucient uniquement d’une conduite irréprochable, son esprit cherche à gagner tout ce qui réjouit, ah ! grand est le mérite auspicieux de Koramiya !
Qu’il soit connu de vous que : Nous donnons à celui-ci, dont le nom est Koramiya, le chef du département de l’or, le village nommé Elavaṟṟu, exempté de toute taxe, en qualité d’agrahāra, après avoir fait une libation d’eau, à l’occasion du solstice d’hiver.
Les limites de ce village sont : à l’est la limite est Gomaḍuvu, au sud-est la limite est ḍagguṁbaṟti, au sud la limite est Iṇṭhūri, au sud-ouest et à l’ouest la limite est Preṁpaṟti, au nord la limite est Tuṟimiṇḍi, au nord-est la limite est Amutunūri. Aucune charge ne doit lui être imposée, celui qui en impose est lié aux cinq grands crimes. Vyāsa a dit ceci :
Beaucoup ont donné une terre, beaucoup l’ont protégée, celui qui possède la terre en possède le fruit.
Qu’elle soit donnée par lui ou par un autre, celui qui prend une terre renaît ver de terre dans les excréments pendant soixante mille ans .
L’exécuteur est le kaṭakarāja. Le poème est de Potanabhaṭṭa. Il a été gravé par Jontācārya.
The grant includes some recycled plates. The writing on these has been beaten out quite effectively, but Fleet reports a few intelligible sequences of characters that can be read in the original, albeit invisible in the estampages. Traces of a grant written in earlier characters, parallel to the lines of the present grant, can be found on 1 verso and both sides of plate 3. A different grant, in characters of the same period as the present one and written across the lines of the present grant, can be found on both sides of plate 2. The lines of this have been truncated as the earlier plate was cut to its present size. Plates 4 and 5 are not palimpsests, and there is no earlier writing on 1 recto.
Stanza 1 is almost identical to a prose passage in lines 15-16 of the Ārumbāka grant of Bādapa. It thus seems likely that this text, in verse form, was already used in grants of Amma I, from which it must have been adopted (inaccurately) here and (accurately) in that grant of Amma II. Or, could Bādapa's clerks have been using a grant of Amma II as a model, given that both refer to the king as Vijayāditya?
Edited from the original by Fleet (