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Halantas. Final T is a nearly full-sized ta with a curly tail instead of a headmark. Final N is likewise a nearly full na with an elongated stem and a tail. Final M is a fairly large circle at body level, with a curly tail. Final K (line 32) looks like a full-sized ka (well, in fact more like ra), complete with headmark, plus the curly tail.
The opening symbol is indiscernible in the estampages; Hultzsch describes it as a flower. It is presumably a floret with four petals and four spikes, as in most grants of Amma II. Original punctuation marks are straight verticals without any decoration.
Other palaeographic observations. Anusvāra is very slightly above the headline, immediately after the character to which it belongs; occasionally it is placed above the next character. The vowel marker for ā is extended downward, usually well below the baseline. The regular form of dependent ā also occurs occasionally, e.g. l16 tasyāgrajo. Dependent o is normally in the cursive form, not always clearly distinguishable from au. Occasionally, apparently for ornamentation, the tail of cursive o extends down below the baseline (l34), but its humps are symmetrical; the humps of au with a similarly extended tail are asymmetrical (l36). Dependent au occurs also in a non-cursive form, with three strokes on the top, right, and left bottom (l15, yau). Dependent e occurs, beside the regular form, as a vertical pr̥ṣṭhamātrā, essentially the mirror image of ā; the same stroke also appears in a form of dependent o (l48 maheśvaro). Upadhmānīya looks like ṟ (l8).
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ti-put
svāmi-mahāsena-pādānud
-vara-varāha
dh
śraya-vallabhendrasy
ṇḍala
daśa| tad-avaraja
varṣ
tat-putraḥ ka
-dheyaḥ|
tad-anujasya labdha-yauvarājyas
paścād ahamahamikayā vikram
pito
ntriṇe
so
ka
khān kuṭuṁbi
stu vaḥ|
Aṇmaṇaṁguru n
rāja-viṣayādhyakṣa-satkāra-pūrvakaṁ daśa-
Aṇ
A
kṣetra-s
ś
-
k
vaṁgipaṟu-v
Greetings. Satyāśraya Vallabhendra
King
His son Kali-Viṣṇuvardhana
Having killed in pitched battle Maṅgi, the king of the populousthe excellent Ḍāhala
. Both interpretations are plausible grammatically, and the choice matters little ultimately, but I feel that while an enemy country may be described as
The son of his younger brother—Vikramāditya, who had attained the rank of heir-apparent
Thanks to his excessively fierce valour, His Majesty King
Then, upon the demise of the Sun of Valour
he who slew Rājamārtaṇḍa among these
the scimitar
the fire of
he, the grandson of Cālukya-Bhīma and son of Vijayāditya
To him
Thenwho seized and wore again at the top (?) of (his) parasol the diadem although it had been struck at by Vallabha
. I believe that my metaphorical interpretation of who duly attained success by righteousness.
I think the intent of the composer was more explicit, expressing that Bhīma I was predestined to seize the crown, and did so by rightful means. Hultzsch further proposes an alternative interpretation, namely that he duly attained (the surname) R̥tasiddhi
, which does not seem likely.
You, who are named Musiya, are a most excellent Brahmin pure three times over: pure in your mind that is devoid of
Ammarāja, when he was petitioned
He
He,
who desires the favour of (his) lord.
The meanings of the two terms
Having sectioned off a field
Its boundaries
The boundaries of the field
Let no-one pose an obstacle
“Each in your own time, you shall respect this bulwark of legality that is universally applicable to kings!”—
Hereby I offer my respectful obeisance
Many
He who would seize land, whether given by himself or by another, shall be born as a worm in faeces for sixty thousand years.
The holding
The poetry has been composed by Bhaṭṭa Guṇḍa of the Ātreya
Prospérité ! Kubja Viṣṇuvardhana, frère de Satyāśraya Vallabhendra, qui orne la dynastie des Cālukya, illustres, du même
Le fils de ce dernier, nommé Narendra Mr̥garāja, qui avait le courage du lion, le roi Vijayāditya pendant quarante-huit ans ;
Son fils Kali-Viṣṇuvardhana pendant un an et demi ; Son fils, dont l’autre nom est Paracakrarāma,
qui a tué dans la gande bataille Maṁgi, le roi du puissant Noḍambarāṣṭra,
qui a vaincu les Gaṅga réfugiés au sommet du Gaṅgakūta,
qui a terrifié Saṅkila, roi des vertueux Dāhala, qui s’était allié au puissant Vallabha, Vijayāditya
le fils du roi Vikramāditya, frère cadet de ce dernier,
Après avoir tué le roi Tāla, à la tête d’une bataille difficile, d’une très puissante énergie avec ses armées d’éléphants furieux, avec la foule de ses divers vassaux, accompagnés de forces immenses, le fils du souverain Cālukya Bhīma, l’illustre roi Vikramāditya a protégé, avec justice, la terre entourée du cercle des océans pendant un an.
Ensuite, convaincus de leur supériorité, lorsque Vikramāditya s’éteignit, occupés à opprimer leurs sujets, comme des Rākṣasa opprimant les créatures au coucher du soleil, les princes prétendant au trône, aspirant à la conquête du pouvoir, Yuddhamalla, Rājamārtaṇḍa et Kaṇṭhikā Vijayāditya en tête, se firent la guerre.
Cinq années de guerre passèrent
celui qui, parmi ces derniers, tua Rājamārtaṇḍa, qui contraignit à l’exil, lors d’un combat, Kaṇṭhikā Vijayāditya et Yuddhamalla,
qui précipita au royaume de la mort nombre d’autres hommes, qui, bien qu’ils fussent de respectables souverains, s’enorgueillissaient de leur conduite criminelle et se révélaient source de calamité pour le pays, de la lame de son cimeterre, mû par son bras puissant, lui, le combattant puissant, dont les ordres sont portés, telle une guirlande pour leur tête, par les rois de la terre dévoués à cette tâche,
dont le feu de la colère ne s’éteint pas sans avoir consumé totalement l’armée ennemie, dont la gloire resplendissante ne s’arrête pas sans parcourir l’univers entier, la masse immense des nuages de sa richesse ne manque pas de se déverser jour après jour, sur ces blés que sont les hommes cruellement tourmentés par la très intense brûlure de la pauvreté.
Ce petit-fils de Cālukya Bhīma, fils de Vijayāditya, Le roi Bhīma a gouverné avec justice la terre pendant douze années entières.
De ce dernier, manifestation de Maheśvara, et de Lokamahādevī, qui avait revêtu l’aspect d’Umā, pareil à Kumāra, naquit le nommé Ammarāja.
Naquit ensuite de celle-ci, Ammarāja, fils du roi Bhīma, vainqueur des armées ennemies, qui, ayant repris la couronne que Vallabha avait tentée de lui arracher, porta celle-ci à l’extrémité de son parasol, qui, par son sens de la justice, parvint à faire triompher l’ordre, descendant de Vikramāṅka, petit-fils du roi Bhīma, adonné à une conduite vertueuse qui obtint comme il se doit un succès véritable, qui faisait briller le
Pur par son esprit, éloigné de la convoitise du bien d’autrui, pur par ses paroles qui sont éloignées de tout propos désobligeant à l’égard d’autrui Serviable envers autrui, tu es le meilleur des brahmanes, tu es trois fois pur, toi qui portes le nom de Musiya.
Il fut le fils du meilleur de ceux qui portèrent le titre illustre de Grand Roi, lui dont la vue charmait les hommes instruits, ses amis, ses proches, lui qui s’acquittait suffisamment de ses dettes envers les dieux et les autres, qui fut un sujet de joie pour sa vertueuse lignée.
Le petit-fils du dénommé Guṇḍamayya, qui accomplit toujours les six devoirs brahmaniques,
Descendant de Bhāradvāja par son
Quand le seigneur Durgarāja, descendant de Pāṇḍarāṁga,
Lui qui a reçu l’onction du prince héritier à l’âge de huit ans, qui a revêtu le turban royal âgé de deux fois six années, Lui qui a détruit avec force une multitude d’ennemis dans les grandes batailles resplendit éternellement.
Celui-ci qui a étudié les cinq grands sons,
A lui, qui désire la faveur de son seigneur, qui éprouve de la compassion pour tous les êtres, éternellement amoureux du dharma et de l’artha, à l’illustre Musiya,
Le sens des noms « Amma » et «
Après avoir rendu les honneurs à l’administrateur de la circonscription, ayant pris un champ où l’on sème des graines de
Ses limites sont : à l’est Medalkoṇḍa, au sud Gaṭṭipūṇḍi, à l’ouest le village nommé ḻeṁkoṇḍa, au nord le village nommé Aṇmaṇaṁguru.
Les limites de ces champs sont :
à l’est un arbre śamī, au point de jonction des trois limites,
au sud-est un étang,
au sud un arbre
Aucune charge ne doit lui être imposée, celui qui en impose est lié aux cinq grands crimes. Celui qui protège cette terre acquiert des mérites. De même Rāmabhadra a dit ceci :
Ce pont du dharma commun aux rois doit toujours être protégé par vous, Rāmabhadra demande ceci à tous les princes des rois à venir, encore et encore.
Qu’ils soient de ma lignée et de la lignée d’autres rois, c’est pour les souverains à venir sur terre qui, l’esprit éloigné du mal, préserveront cette mienne action pieuse
Beaucoup ont donné une terre, beaucoup l’ont protégée, celui qui possède la terre en possède le fruit.
Qu’elle soit donnée par lui ou par un autre, celui qui prend une terre renaît ver de terre dans des excréments pendant soixante mille ans.
Ce champ dans lequel il faut semer vingt
Le poème a été composé par Bhaṭṭaguṇḍa, du
The name Nodaṁba in stanza 2 must have a short
I am not sure verse 20 was intended as a full stanza. It may be that the horrendously unmetrical text of the first two lines was in fact meant for prose, which happens to be sixteen syllables long and is followed by just one hemistich.
As of September 2021, I have come across three specimens of this verse, as stanza 6 of the Maliyapūṇḍi grant of Amma II (hereafter: M), stanza 5 of the Vemalūrpāḍu plates of Amma II (hereafter: V), and stanza 5 of the Īnteṟu grant of Bādapa (hereafter: Ī). The variation between these specimens is minor and none are fully intelligble. My reconstruction of the stanza as intended by the composer runs as follows:
I thus prefer to interpret the stanza as indicated in my translation. However, depending on the choice of readings, a number of slightly different alternative interpretations may be possible. If
Noticed in