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Halantas. T is written with ta and a virāma according to KR, while a special sign is used for N (l9, l15, l17).
Original punctuation marks. Single punctuation marks are straight verticals with a serif on top. The final closing symbol is a series of three diminishing curved strokes, followed by a curl extending upward.
Other palaeographic observations. Anusvāra is normally to the right of the character to which it belongs, at or above headline level; in the Telugu boundary descriptions it may also be on top of the next character. ḍ and d are often indistinguishable; in the Telugu words I blindly follow KR's choice between these two, except for the name of the granted village where I disagree with him (see the apparatus to lines 56 and 61).
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svasti
navya-sagotrāṇāṁ hārīti-putrāṇāṁ kauśikī-vara-prasāda-labdha-rājyānām mātr̥-gaṇa-paripālitānāṁ svāmi
-mahāsena-pā
ṇa-
lam alaṁkari
veṁgī-deśam apālayaT
va
jaḥ kokkili
jayāditya-bhaṭṭārako
tat-putraẖ kali-viṣṇuvarddha
no
tat-putraḥ kaliyattigaṇḍa-vijayādityaṣ ṣaṇ māsāN
pta-varṣ
sa jagatī-patir ammarājo rāja-mahendra
sra-bhogopahā
Iva nirantarāna
lāsanaḥriśa Iva dharādhara-sutārādhitaḥ
-śaraṇāgata-bhūbhr̥d-āśrayaḥ
Iva siṁhāsanollāsita-camarī-vāla-vyajana-virājamāna-līlaḥ
sa sama
sta-bhuvanāśraya-śrī-vijayāditya-mahārāj
-bhaṭṭārakaḥ
-sāmantāntaḫpura-mahāmātra-purohitāmātya-śreṣṭhi-senāpati-śr
-dvādaśa-sthān
viditam astu vaḥ
tasm
jina-bhavana-yugan ni
-kr̥tya pedda-gāḻidipaṟṟu nāma grāmo dattaḥ
Asyāvadhayaḥ
ri-pola-garusuna yisupakaṭṭala-ceṟuvuna naḍimi dūba
viḍḍi-guṇṭha
yavyataḥ
śānataḥ
Asyopari na kenacid bādhā karttavyā
yukto bhavati
Ājñapti
ryye
N. L. R.in KR's edition.
He who with his dark complexion and with his long, jewel-encrusted Śārṅga bow fully drawn appears to mock a bluish flock of clouds accompanied by a rainbow: may that Viṣṇu, who bears the three worlds, apportion good grace
Greetings. Satyāśraya Vallabhendra
King
His son Kali-Viṣṇuvardhana
From his brother Prince
His son Kaliyattigaṇḍa Vijayāditya
Clever Vijayāditya
Endowed with all virtues such as truthfulness, liberality and self-confidence, he, resembling Death, vanquished in battle Rājamārtaṇḍa
His queen
Anointed for the kingship of Veṅgī, he has vanquished his kinsman-enemy—Vijayāditya
The Triple Divinity
Although kings of yore such as Nala, Nahuṣa, Hariścandra and Rāma, now gone to heaven, are distinctly perceivable thanks to their reputations, to those staying on earth
That master of the world, Ammarāja Rājamahendra, supports the burden of the entire all-supporting earth with a single arm, his long right one, which ridicules the thousand hoods of the lord of serpents
Let it be known to you
There arose enjoyed the privilege and honour of sitting on
, but I find this unlikely and difficult to obtain from the text.
Master of the chancellery
His virtuous senior son was Elaparāja, eminent in virtue, liberal and self-confident: a god among men who conducted himself according to
His loyal wife was Meṇḍāmbā, devoted to her husband like Sītā and conducting herself according to the observances of the Jina. Honourable and humble, she always distributed alms of food and observed the doctrine
From them were born two famous sons supreme in intellect, deeply versed in all textbooks
Being similar to Bhīma and Arjuna, equal to the powerful Baladeva and Vāsudeva, and comparable to Nakula and Sahadeva, they became diligent followers of the Jaina doctrine
By the grace of His Majesty King Cālukya-Bhīma
Their preceptor in Jainism is a his soul became absorbed in the non-self for the liberation of mankind from bondage
, but I cannot judge whether this explanation is legitimate.
These two, Rāja-Bhīma and Naravāhana, have constructed a pair of Jina temples in Vijayavāṭikā for him
Its boundaries
May the most excellent decree pronounced by the
Let no-one pose an obstacle
Many
He who would seize land, whether given by himself or by another, shall be born as a worm in faeces for sixty thousand years.
Over and over again, Rāmabhadra begs all these future rulers: “Each in your own time, you shall respect this bulwark of legality that is universally applicable to kings!”
Hereby I offer my respectful obeisance
The executor
Lui qui, ayant bandé le grand arc Śārṇga incrusté de joyaux,
semble ridiculiser le dieu armé d’un arc-en-ciel qui écarte les sombres cohortes de nuages,
Prospérité ! le roi Kubja Viṣṇuvardhana, frère de Satyāśraya Vallabhendra, qui orne la dynastie des Cālukya, illustres, du même
Celui qui porte le nom de Narendra Mr̥garāja, qui possède la vaillance d’un lion,
le roi Vijayāditya, pendant quarante ans ;
Le fils de ce dernier, Kali Viṣṇuvardhana, pendant un an et demi ; Son fils Guṇaga Vijayāditya pendant quarante-quatre ans ;
Le fils du roi Vikramāditya, frère de ce dernier, qui avait acquis l’éminent statut de prince héritier et la majesté,
le roi Cālukya Bhīma, réceptacle de vertus royales et d’une éminente bonne conduite,
généreux, * * *
Son fils Kaliyattigaṇḍa Vijayāditya pendant six mois ;
Le fils de celui-ci, Ammarāja, pendant sept ans ;
Après avoir attaqué son fils Vijayāditya Kaṇtḥika,
Vijayāditya, seigneur de Veṅgī, nommé Kaliyattigaṇḍa, fut un homme avisé ; Son épouse vertueuse fut Meḻāṁbā ; Son fils, illustre roi, le seigneur Bhīma fut invincible ;
Doué de toutes les vertus, à commencer par la sincérité, la générosité,
Comme Padmā
Consacré roi de Veṅgī, ayant vaincu son propre ennemi Vijayāditya,
Dans le but de recréer cet univers tout entier,
Partis au ciel, les monarques d’autrefois, y compris Nala, Nahuṣa, Hariścandra et Rāma, et les autres, ceux-là, que leur gloire, affermie par leur vertus et leur beauté, a rendus célèbres, sont désormais invisibles, celui qui possède une immense renommée, qui, telle une constellation,connaît en ce monde une ascension sans pareille, celui-là, resplendissant souverain suprême des rois, il est vainqueur, Vijayāditya, le divin roi Amma.
Voici la prose :
Ce maître de l’univers, Ammarāja, qui porte le fardeau de la terre entière affermie sur son seul bras droit, qui ridiculise les mille replis des rois des serpents
Lui, refuge de l’univers entier, l’illustre Vijayāditya, roi suprême des grands rois , premier seigneur, illustre seigneur, ayant convoqué tous les chefs de familles habitant la circonscription de Velanāṇḍu, les raṣṭrakūṭa en tête, à tous les feudataires, au surintendant du gynécée, au chapelain, au ministre, au chef des commerçants, au général des armées, à l’intendant du trésor, au ministre de la justice et aux douze dirigeants de monastères, ordonne ceci :
Qu’il soit connu de vous que :
Au début est né cet homme illustre, de la grande descendance des Triṇaya, excellent, * * *
Maître des Śrīkaraṇa, tel le Précepteur,
Son fils aîné, doué de vertus, fut Melaparāja, éminent par ses vertus, généreux, fier, adoptant la conduite de Manu, il fut le dieu des hommes, abeille butinant ces lotus que sont les pieds du Jina.
Son épouse vertueuse fut Meṇḍāmbā, de même que Sītā était dévouée à son époux, elle adoptait une conduite de dévotion à l’égard du Jina, elle était douée de sincérité et de modestie, elle procurait sans cesse de la nourriture , et soutenait la doctrine.
De ceux-ci naquirent deux fils, doués de renommée, d’une suprême intelligence, d’une juste compréhension des théories et de toutes les armes, célèbres sous les noms de Bhīma et de Naravāhana, pareil à Rāma et Lakṣmaṇa dans le monde.
De ceux-ci, qui étaient pareils à Bhīma et Arjuna, semblables aux puissants Baladeva et Vasudeva, et égaux à Nakula et Sahadeva, étaient victorieux, se plaisaient à adopter la conduite des vertueux jaïns.
Grâce à la compassion de l’illustre roi Cālukya Bhīma, ils avaient obtenu l’insigne de feudataire : portes de la prospérité, ils possédaient le charme d’un joli éventail et d’un joli parasol ***
Le précepteur fut le maître jaïn, doué de toutes les qualités, disciple de Candrasena,
le sage Nāthasena, qui connaît les traités, célébré par les sages sous le nom de Jayāsena, qui avait purifié son âme, connaisseur de la doctrine, connaisseurs des arts, ayant une connaissance pénétrante des autres doctrines, loué par les hommes de bien pour sa conduite éminente, coupe de vertu aux yeux des Śrāvaka,
Pour cet homme, Rājabhīma et Naravāhana ont construit deux sanctuaires du Jina à Vijayāvaṭikā, afin de parfaire cet acte pieux,
Les limites de celui-ci sont : à l’est un arbre duba vers le réservoir de Yisu Kaṭṭala, vers le pépier de Maṇḍayuru, au sud-est un arbre būruvu paḍuva au point de jonction de Ālapaṟti et Jūṇṭūru, au sud, l’étang de Kuṇḍiviḍḍi, au nord de l’ancien village de Cūṁṭūru, au sud-ouest, un temple de Potyavva, la divinité de Cūṁṭūru, à l’ouest Reṭipaḍumatiḍari, au nord-ouest, l’étang de Garala vers le pépier de Valiveru, au nord, le paḍuva de Tapparāla, au nord-est, l’étang de Naḍupanu, au point de jonction de Koḍa-Gāḻiḍipaṟṟu et de Valiveru.
Que demeure très longtemps inviolable, prononcé par la bouche du roi, l’excellent commandement d’Ammarāja, doué d’une gloire véritable, roi de Veṅgī, réceptacle de vertus immaculées, ce commandement qui préserve l’enseignement du Jina, émis par celui dont les nobles cohortes des autres rois, terrifiés par son héroïsme, illuminent les pieds des jasmins de leurs parures et des couronnes de gemmes ornant leurs diadèmes !
Aucune charge ne doit lui être imposée, celui qui en impose est lié aux cinq grands crimes. Le bienheureux Vyāsa a dit ceci :
beaucoup ont donné une terre, beaucoup l’ont protégée, celui qui possède la terre en possède le fruit.
Qu’elle soit donnée par lui ou par un autre, celui qui prend une terre renaît ver de terre dans des excréments pendant soixante mille ans.
Rāmabhadra demande ceci à tous les princes des rois à venir de la terre, encore et encore : « ce pont du dharma commun aux rois doit toujours être protégé par vous. »
Qu’il soit de ma lignée ou de la lignée d’autres rois, c’est pour les souverains à venir sur terre qui, l’esprit éloigné du mal, préserveront cette mienne action pieuse2320 dans son intégrité, que j’ai fait cette añjali sur ma tête !
L’exécuteur est le
Caesura obscured by sandhi in v3 (sragdharā) a1, v5 (sragdharā) a1 (semivowel), v6 (sragdharā) d2. An actual punctuation mark is used at the first caesura in v5 (sragdharā) d1.
Stanza 16 mentions several insignia or status symbols to which the grant’s initiators were entitled. The rare term
The sequence of words following
The compound continues with fluttering (
The brothers are further described as
Going on, the donees possess gemstones, elephants and horses, which may simply indicate their wealth or may be part of the description of their pageantry. Finally, they are said to be endowed with the
First reported by Robert Sewell (