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yas tu daulikām adhivasan rāja-parata Ucchrita-māyūra-cchattra-priyāyāśeṣa-vādyais saha valair asyāś cāvatarati punar idaṁ śre
yaḥ
śrījayasiṁhavarmmadevasya puṇyaḥ śrī
śvaraḥ
ṣu praśastāni śilālekhā-kṣarālaṅkr̥tāny akarod ājñā jayendrapati-nāmāmātyo nekaparibhogadaulikāmā
yūrakanakanivaddhakhadga-kośa-kalaśabhr̥ṅgār·rajatabhājanakatisūtra-kuṇḍala-kuṇḍala-gaṇa-cirāṇḍayugalavasanādīni prāptavān rā
japrasādād iti
sā suvauk· pirak· sā ta
va yam̃ṅ·
tais tatsahodarair eka
matibhir mmātr
maddhyataḥ gagaṇadvimaṅgalaśake pitur ājñā sārthavāhanā
mnaḥ śrī Indravarmmanr̥patimahādevyā śrīrudravarmmabhūpabhrā
trīyayāsya sahodarasya pratirūpataḥ pitari tadbhaktyai sva
jananībhūmau
ṣṭhāpitā khavahnitanuśake mātur at
lodbhavāyāḥ pu pov· ku rudrapurasaṁjñikāyā devīgaṇa
patikumārān imān devān pratiṣṭhāpayantyāś candrāgnitanu
śake pratirūpato mātari tadbhaktaye svabhūmau
cāmātya Ājñā jayendrapatināmeti dakṣiṇata I
maṁ śrīmahāśivaliṅgeśvaradevam asthāpayan navadvimaṅga
laśake parameśvarapūjārtham iha jananībhūmau svakī
rttaye veti
matandāḥ ya siy· urāṅ· nāma pamataḥ matandāḥ niy· Urāṅ· nan· la
c· di naraka
Urāṅ· nan· nau dauk· di svargga yathā-Iṣṭa driy·
rājā
jñā na laṅghanīyā bhavadbhiḥ
yāṅ· pu pov· ku siniy· ranakṣā Urāṅ· viśeṣa tapaḥ
maAnan· driy· yāṅ· pov· ku di yāṅ· yaṁṅ· sandhyā di yā
ṅ· pu pov· ku śrīśānabhadreśvara
māna yāṅ· pov· ku siniy· kā driy· yajamāna yāṅ· pov·
ku siniy· paknā dharmma niy· siy· srauṅ· punya va kamiy·
paknā kaṁn· Urāṅ· tapaḥ viśeṣa sidaḥ luniy· napāy·
hetu jeṅ· daḥ sunan· Urāṅ· tapaḥ viśeṣa nan· tan madā
humā
viḥ humā nan· kā ra vuḥ di yāṅ· pov· ku śrīmahārudra
ṅan· Air· draṁ niy· ṅan· cal· nim̃ tanaḥ glai klauv· nim̃ Aviḥ
nau kintu vlim̃ ṅan· dravya curav· pirak· dvā kalaśa pirak·
The Y.P.P.K. here will guard the pious men
But the family of the women who worship the Y.P.K. here and the people worshiping the Y.P.K. here, in accordance with this
Vandrauv fields from
One silver tray, one copper ?, three copper
Adoration à Çiva ! Bonheur !
Se manifestant sous de multiples formes, ils procurent la souveraineté sur le monde entier ; d'un radieux éclat, ils dispersent éternellement les ténèbres de l'insécurité dont nous menacent sur la terre les impies : que les Liṅgas de Çiva, par la vertu de la puissance inépuisable dont les a doués le
Le Liṅga antique du dieu n'a ni commencement, ni milieu, ni fin ; il donne la tranquillité au monde entier, lui qu'adorent les êtres animés et inanimés.
Toujours et sans raison déterminante, il dispense aux créatures le bonheur et à ses
Dépassant la terre, il a pour horizon le firmament ; une cour de nombreux génies l'auréole ; sa splendeur à laquelle rendent hommage le Soleil, la Lune et les Planètes, fait lever peu à peu une aurore de félicité : que ce Liṅga nous protège !
Ceux qui honorent une seule fois les Liṅgas de Çiva, voient leurs désirs, au moment même où ils entrent dans leur cœur, réalisés aussitôt ; ils iront au ciel, où les
Jadis Viṣṇu, fonçant sont la forme d'un sanglier, voulut atteindre dans ses profondeur insondables l'extrémité inférieure du Liṅga
L'orgueilleux Brahma, dans son ignorance, voulait connaître où était en haut la fin du Liṅga : bien que flamboyant de l'énergie qu'il puise dans sa méditation, il ne le put, car il n'avait pas sollicité la faveur du dieu.
Là-dessus Çiva fit entendre ces paroles à l'adresse de Viṣṇu et de Brahma, qui avaient perdu la splendeur de lotus de leurs visages, fané qu'il était par cette gelée : la faute qu'ils avaient commise en manquant de respect au dieu : "O Viṣṇu et Brahma ! En cherchant les extrémités du Liṅga, qu'avez-vous donc atteint ? Rendez-moi hommage, si vous voulez que je vous sois propice."
Entendant son auguste parole, Viṣṇu et Brahma, pleins de respect, s'inclinèrent devant le dieu suprême.
Et ils dirent, tandis que les lotus de leurs visages resplendissaient de nouveau d'un éclat surpassant celui du Soleil : "Tu es le Puissant, le Dieu des Dieux ; daigne nous accorder ce que nous désirons."
Alors Çiva se manifesta, montrant son visage qui sortit du milieu du Linga, resplendissant de l'éclat du Feu, de la Lune et du Soleil qui sont ses trois yeux.
Aussitôt Brahma se plaça à sa droite, Viṣṇu à sa gauche, et par la permission de Çiva les deux ne formèrent plus qu'une seule divinité avec lui.
Et alors le Bienheureux, le maître des dieux et des démons, celui qui frappe ouvertement, Maheçvara, reçut de part et d'autre à ses pieds de lotus une double adoration ; exempt de dualité, mais doublé de la présence de Gaurī, invincible, victorieux de ceux qui sont le foyer des plus hautes vertus, il se fixa dans l'immobilité, tant que
En ce pays où notre famille a grandi et où il réside dans la béatitude, que le charme de Çrīçāneçvara dont le culte est notre meilleur trésor, nous protège du malheur!
C'est S. M. Bhadravarman, qui au firmament de la noble race de Bhr̥gu est une lune sans tache dont les rayons font éclore les lotus de la prospérité du monde.
Tel
Par sa droiture ce roi puissant a établi le chemin de la Loi ; la félicité qui en résulte augmente la puissance royale.
Il a un ministre, Ājñā Mahāsāmanta, un réceptacle de multiples biens, qui par la faveur de son roi est comblé d'honneurs et de richesses
L'honneur de porter une guirlande sur sa tête, la distinction de se marquer d'un
Toutes ces choses que d'ordinaire on obtient difficilement dans ce monde, il les eut du souverain en récompense du zèle qu'il a montré dans le service du roi. Cependant, bien qu'assis dans un palanquin agrémenté d'un parasol à plumes de paon plus élevé que celui du roi et accompagné de troupes avec leur musique au complet, il en descendit, car il y eut encore mieux :
Monté sur un éléphant magnifique qui marchait au milieu d'innombrables soldats qui l'entouraient en avant et en arrière, il rayonnait de majesté, tandis qu'un splendide parasol à plumes de paon servait d'écran à l'éclat, pareil à celui du soleil, qui émanait de sa personne.
Il a un frère, le ministre Ājñā Narendranr̥pavitra, au courant de toutes les ordonnances sacrées et versé dans tous les traités de la religion çivaïte.
Son frère cadet, Ājñā Jayendrapati, doué d'une intelligence qui embrasse tous les traités techniques, est, tel Angiras lui-même, renommé sur la terre entière pour son génie éclatant ; d'une âme noble, ce ministre se purifie par de bonnes actions destructrices du péché.
Par une application extrême il a réussi à pouvoir comprendre d'un bout à l'autre, après les avoir examinés pendant un seul instant, les messages des souverains qui sont expédiés de tous les pays
le temple de Çrī-Jayaguheçvara ; le temple de Viṣṇu à Viṣṇupura, tous les deux œuvres pies du roi Çrī-Jayasiṃhavarman ; le temple de Çrī-Prakāçabhadreçvara ; le temple de Çrī-Rudrakoṭīçvara ; le temple de Çrī-Bhadramalayeçvara ; le temple de Çrī-Bhadracampeçvara ; le temple de Çrī-Bhadramaṇḍaleçvara ; le temple de Çrī-Dharmeçvara et le temple de Çrī-Bhadrapureçvara, qui sont tous œuvres pies du roi Çrī-Bhadravarman.
Pour l'en récompenser, la faveur du roi l'a comblé de multiples distinctions, tels un palanquin, un parasol orné de plumes de paon, un fourreau d'épée en or, des aiguières et vases, un plat en argent, une ceinture, des boucles d'oreilles et des bracelets, des
...... sa sœur cadette est la reine Ugradevī ; toujours soucieuse d'accomplir des œuvres pieds, elle jouit d'une félicité qui a sa source dans sa conduite vertueuse.
Ses
Au Nord de ce temple ils élevèrent ici dans leur pays, en
Enfin, le ministre Ājñā Jayendrapati a consacré au Sud
Ne transgressez pas les ordres du roi ! Puisse cette œuvre pie durer ici aussi longtemps que les phases de la lune et l'orbe lumineux du soleil éclaireront l'univers !
svasti: this element, of which Huber was still able to discern the subscript t, is now entirely effaced.
I b.°ta
I c. pūrvvāpra°: pūrvvapra° Huber, but the estampage seems to show rvvā, unless the apparent ā is actually an ornamental continuation of the r in pra.
IV b. maṇḍalā
IV d. atra: attra? Contrast simple tra in jaitra, l. 7 as well as clear ttr in vettrā l. 7.
V a. There seems to be no
VI b. The stone is slightly weathered at the end of the pāda, and it is not clear whether
VII b. mānorjjitena: mānojjitena Huber. No doubt a slip of the pen.
XV b. Virtually nothing of the part of this pāda that stands at the end of line 1 and that was still vaguely legible on the estampage is still legible today.
XVIII b. No
XX b. Apparently no
XXII a+c. Apparently no
XXII c. °sanma+yū+ra°: the syllable yū is added below sa and to the left (!) of nma, as the pra to the right left no space for placing it there. A ‘kākapāda’ sign above the line marks the place where the syllable needs to be inserted. See Huber’s note.
XXII d. Huber reads
XXIII a. Apparently no
XXIV a+b. Apparently no
°matibhir: Huber gave this (the correct) reading in his text, but added a note “Le lapicide a écrit mātibhr̥ir”, which shows that Huber was confused by the elaborate subscript m of the following akṣara.
XXVII c. rodasyor: in a note. Huber proposes “Corr. rodasor”, but this would go against the meter and rodasyor is anyhow an acceptable form.
The last four lines, of which the final two were left untransliterated by Huber, constitute an addition, continued at the bottom of B.
First edited with translation into French by E. Huber (