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Vive Celui qui a pour demeure le lotus
Enflammé par Śrī Śrī Sūryavarman, dont l'épée avait rompu le cercle des ennemis, obtint pour la prospérité de la terre la royauté charmante en Océan-deux-ouvertures
Lune de cet océan de lait qu'est la famille maternelle de Śrī Indravarman, lequel était le soleil de ce ciel qu'est la famille des rois des Kambujas, il était cher à Dhūrjaṭi
Le feu irrésistible - sa majesté -, attisé par le vent - son héroime -, emporta
Comme par compassion, il baignait continuellement, dans l'eau des rayons émanant de ses pieds, les rois toujours inclinés que brûlait son ardent éclat.
Par sa propre intelligence, il menait jusque sur l'autre bord de l'Océan insondable de l'intelligence, les sages instruits désireux de le traverser.
Ayant obtenu l'arbre céleste qui était né sur le sommet du Meru - son cœur -, et qui donnait tous les fruits désirés, le brahman des dieux se réjouit.
Joyeux, Cakrin
Ce roi eut un serviteur, Kr̥tīndrapaṇḍita, honoré pour ses actes, faisant son devoir et détruisant le mal.
Le sage Śikhāśiva fut le fils de la fille de la sœur du sage Praṇavātman, hotar de Śrī Jayavarman.
De ce
nommé sur terre Śaṅkara, le meilleur d'entre les sages, ayant traversé le grand Océan des
Son frère puîné, doué d'une invincible vertu, nommé Nārāyaṇa, fut le hotar de Śrī Jayavarman dont les pieds étaient dignes des honneurs
Le fils de sa sœur, le sage Śivācārya, le premier des gens de bien, fut le hotar du même roi.
Le fils de la sœur de ce
Le savant louait sa science, le patient sa patience, le mendiant sa libéralité, et les autres louaient comme à l'envi ses autres vertus.
Comme il avait uniquement en vue le bien suprême, il ne trouvait pas autant de plaisir à voir ses biens accumulés dans sa demeure, qu'à les donner au mendiant.
A cause de sa dévotion envers son maître, cet homme qui, entre tous les ascètes dont l'esprit est uniquement attaché au tapas, connaissait les formules, les rites et les charmes magiques, fut nommé upadeṣṭar par ordre du roi.
Bien qu'il fût continuellement le support de toutes les vertus à commencer par la bonté, la science de la Śruti, la moralité, il était de par
En Iles-deux-ouvertures
Son frère cadet, supérieur par ses vertus
Edited by George Cœdès (