944 śaka. caturdaśī ket· bhadrapa
da Ādityavāra nu vraḥ pāda kaṁmrateṅ· kaṁtva
n· Añ· śrīsūryyavarmmadeva pandval· vraḥ ni
yama ru samācāra ta tap ra pī bhūvana phoṅ·
dval· pī thve toya. nā sthāna tapasvi pho
ṅ· nu vraḥ paṁnvas· bhikṣu mahāyāna stha
vira. nau ru ta pvas· vyat· pi nu thvāy· tapaḥ ta
vraḥ pāda kaṁmrateṅ· kaṁtvan· Añ· śrī
sūryyavarmmadeva. nau ruva qnak ta cval· sāṁ
pi tamaḥ tapovanāvāsa noḥ pi thve
kaṅ·vala pi vvaṁ Aṁpāṇn· pi tapasvi yogi
phoṅ· svat· mantra pi nu thvāy· tapaḥ ta
vraḥ pāda kaṁmrateṅ· kaṁtvan· Añ· śrisū
ryyavarmmadeva ti pre cāp pi nāṁ cuñ· ta
sabhā stap· vyavahāra nirṇnaya toya
Uttamasāha . gi nu ta nāṁ samācāra neḥ
mok· vraḥ srethi . .
947 śaka . roc māgha nu mā
n· vraḥ niyama nu tapa
svi phoṅ· vvaṁ kaṁluṅ· Ekā
śiti kralā
Añcana vvaṁ Āc·
krapi jrvak· vave man· Adā svā
Āc ti cval· ta sthāna ta roḥh
paṇdita roḥha noḥh·
7 śaka . ta gi
vr̥haspativāra
l· ta mra
cuñ·
944 śaka, à la quatorzième tithī de la quinzaine claire du mois de Bhadrapada, un dimancheLa date correspond au dimanche 12 août 1022 de notre ère., c'est alors que Sa Majesté par succession matrilinéaire Śrī Sūryavarmadeva a émis une injonction royale concernant la conduite convenable ta tap ra à l'intention pī de tous les récipiendaires, afin qu'ils agissent conformément au lieu de résidence des tapasvi et des religieux qui sont bhikṣu dans la secte Mahāyāna ou Sthaviravāda ;
Concernant ceux qui ont véritablement pris les ordres d'offrir leur tapas à Sa Majesté par succession matrilinéaire Śrī Sūryavarman ;
Quant aux personnes qui s'introduisent à répétition afin de troubler le Tapovanāvāsa en question , pour faire des nuisances , pour empêcher que tous les tapasvin et les yogin de réciter les mantra dans le but d'offrir leur tapas à Sa Majesté par succession matrilinéaire Śrī Sūryavarman, il est demandé de les appréhender pour les mener devant la Cour, où le litige sera entendu et jugé sous forme de punition la plus sévère. Il a été donné l'ordre de de les appréhender pour les mener en les faisant sortir vers l'Assemblée et écouter la résolution du litige selon la règle de la punition capitale.
Celui qui a apporté cet ordre est Vraḥ srethi.
En 947 śaka, quinzaine sombre du mois de Māgha, c'est alors qu'un ordre royal et tous les tapasvi ne pas à l'intérieur des quatre-vingt-un kralā douves, ne pas buffles, cochons, chèvres, poules, canards, singes n'entrent pas dans cet endroit ces paṇdit
En 7 śaka, un jeudi
En 944 śaka, le quatorzième jour de la lune croissante de Bhadrapada, dimanche, Sa Majesté Śrī Sūryavarmadeva édice cette prescription niyama comme règle de conduite samācāra, pour que dorénavant tout le monde s'y conforme respectueusement. Dans les lieux de résidence des ascètes et de ceux qui ont pris les ordres comme moines bhikṣu dans la secte Mahāyāna ou dans la secte Sthavira, que ceux qui ont pris les ordres d'un cœur sincère offrent leur ardeur tapas à Sa Majesté Śrī Sūryavarmadeva ; et les gens qui entrent pour obscurcir ces résidences forestières destinées aux pratiques de l'ascétisme, pour y causer du trouble et empêcher que les ascètes et les yogin ne récitent les formules mantra par lesquelles ils offrent leur ardeur à Sa Majesté Śrī Sūryavarmadeva, il est prescrit de se saisir d'eux et de les faire comparaître devant le tribunal pour y écouter leur procès qui devra être jugé avec la plus grande fermeté. Celui qui a apporté ce règlement est Vraḥ srethi.
En 947 śaka, le jour de la lune décroissante de Māgha, un édit les ascètes ne pas dans les quatre-vingt-un douves, ne pas les buffles, cochons, chèvres, poules, canards, singes n'entrent pas dans ces lieux ces pandits
En 7 śaka un jeudi
The first date is Sunday, August 12, 1022 CE (see 416).
The term kaṁtvan, meaning "from the female ligneage" is commonly used in Sūryavarman I's titulature. On this question see 54.
The term samācāra is not attested in any other Cambodian inscription but it is of Sanskrit origin .