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Oṁ
Hommage à Śiva qui, tout en étant unique, se présente sous le double aspect de la connaissance
Que la Science multiforme vous protège ; bien qu'elle augmente l'attachement
Il y eut
Bien que, pour protéger le monde opprimé par la puissance de Kali, il fût comme Īśvara invisible destructeur de Smara, pour dissiper le souci causé aux hommes par ce roi, il prit le corps visible du maître des hommes.
Le ciel qui brûle le roi ennemi et ses sujets, en causant la rui,e de tous leurs biens, le comblait de joie en restant dans les quatre directions constamment beau et exempt de rayons
"S'il savait que son propre parent a pris pour séjour la tête de
Pratiquant et réalisant les trois devoirs à l'instant même où il venait de les connaître, se conformant, semble-t-il, aux quatre révélations, il était proclamé omniscient par les écrivains.
Ses conseillers favoris étaient impuissants à sauver, dans l'intérêt de leur maître, un criminel condamné par son ordre, tandis que le mauvais
Le Maître du monde porte sans cesse sur la tête l'éclat sans défaut des rayons nés du pied de cet époux de la Fortune, tandis que la Gangā en est descendue en suivant le chemin du char
"Lorsqu'il pousse ses armées pour détruire l'ennemi, un tremblement de terre causé par les Asuras agite le pays", ainsi pensait cette
Il me semble que les ennemis brisés par Śakra se relèvent, puisque les monts
Lorsqu'il marchait sur la ville ennemie en obscurcissant le soleil par la poussière
Vu la nuit pendant un certain temps, l'arc d'Indra ne cause que la ruine des étoiles néfastes, tandis que le sien, vu rien qu'un instant dans la bataille, cause en même temps la ruine des ennemis, même de ceux qui ont une bonne étoile.
Privant de souffle les troupes ennemies par un seul coup de son arme dans la bataille, vainquant aussi par sa beauté Kāma qu'il avait déjà en quelque sorte subjugué par l'épée de la sagesse, il procura la paix.
Voyant son beau corps embrassé par la Fortune, la Renommée toute pâle de chagrin, qui s'était installée dans le cœur des hommes, comme par honte d'y rester, s'enfuit par leurs bouches dans toutes les directions.
Les gens caractérisent ainsi la discrimination dont il faisait preuve en partageant ses biens : à ses serviteurs il donnait les richesses royales qu'il avait sous la main, mais aux ennemis il donnait les biens célestes qui sont lointains.
Comme par suite de ses autres vertus, la différence entre lui et l'ennemi n'est pas éloignée de celle qu'il y a entre le faiseur de pluie et le faiseur de sécheresse : les larmes de ses sujets et les nuages se manifestent dans cet ordre, tandis que chez l'ennemi
Indra, se rendant compte que ce roi, comme par esprit de compassion, avait assuré sa position en vidant le ciel des ennemis qu'il avait tués par son glaive dans la bataille, n'eut plus jamais de souci pour le sacrifice.
"L'eau
N'appliquait-il pas ses soins au profit des deux parties en adoptant, dans sa propre affaire, le point de vue d'autrui, lorsque dans son action en faveur d'innombrables solliciteurs, il se chargeait par ses dons de bien juger les affaires des hommes ?
Sous son règne, les juges trouvaient leur joie dans son opinion, conforme aux
Par suite du fait que dans sa puissance, sa patience à l'égard du méchant est d'une nature insondable, la crainte de sa majesté fait qu'il n'y a pas un seul de ses sujets en qui aient été reconnues de mauvaises dispositions.
En vue de l'établir, lui qui était son frère aîné, dans la suprématie sur les rois et de s'établir lui-même dans la suprématie sur les dieux, Śrī Jayavarmadeva, protecteur de ses sujets, prit la condition divine.
Dans
Hūṁ
Bien que, constamment uni à la Modestie, à la Beauté, à la Renommé et à la Fortune, il eût contracté mariage, il menait l'existence d'un ascète
A cause de la peine cuisante engendrée dans le cœur des femmes des ennemis par le feu de sa majesté, le feu Aurva s'étant complètement plongé dans l'océan extrêmement dense de leur chagrin, a fait sans discontinuer jaillir de leurs yeux une eau bouillonnante.
Brahmā, ayant fait Kāmadeva pour donner un étalon à la beauté, mais constatant combien il répondait mal à son dessein, désireux en quelque sorte de le détruire et ravi qu'il ait été brûlé par le feu de l'œil de Rudra, a créé ce roi extrêmement beau, doué d'une grâce dépassant l'imagination.
Il eut une reine, réceptacle de la bonté, de la beauté, de l'éloquence et de l'affection, qui, parce qu'elle pouvait être considérée comme le fruit de la Fortune
Le Créateur ne se donna pas grand mal, en créant le corps de Tilottamā, pour prendre une quantité de suprême
Rempli du nectar de la voix de cette reine, le visage du roi, imitant le disque de la lune, rabaissa les lotus des visages des hommes qui lui rendaient hommage en regardant se lever son éclat.
Entre elle et le Lakṣmī céleste, il n'y avait nulle différence, et aucune d'elles ne pouvait prouver sa supériorité sur l'autre : c'est comme dans cette pensée qu'en allant au ciel le Yuvarāja la donna à son frère Śrī Jayavarman.
Par amour familial, lorsque Śrī Jayavarman suivit au ciel les ancêtres du Śrī Yuvarāja, il la donna à Dharaṇīndradeva, telle une image incarnée de la Dévotion.
Pour sa subsistance, elle a obtenu de la faveur du roi nommé Śrī
Aujourd'hui encore, en entendant le récit des fêtes et des cérémonies qu'elle fit par amusement de femme noble, les autres reines qui font étalage de leur fortune et de leur puissance baissent le visage de honte.
Le roi nommé Śrī Jayavarman lui donna lui-même un village dont le nom commence par Dvijendra° et se termine par °pura, habité par des brâhmanes, avec son dieu, ses semis d'été, etc., et de nombreux esclaves.
Elle obtint du roi le pays dont le nom commence par Abhinava° et se termine par °pura, le village nommé
En plus de la terre donnée par le roi, la terre familiale que les rois avaient fait délimiter et toute
Elle a obtenu la ville nommée
Elle eut un frère aîné qui obtint un nom commençant par Śrī Nr̥pendrādhi° et se terminant par °pativarman, parce qu'il était à la tête de l'armée.
Il reçut autrefois du roi Śrī Jayavarman, bien disposé à son égard, un petit village nommé
Dans le village nommé
Ayant le cœur attaché à Hara qui ravissait son cœur, cet homme qui ravissait en même temps l'esprit des hommes, fonda un village charmant.
Śrī Jayavarman lui donna le pays de
Il a donné à l'Īśvara de Śivapura un
Plein de joie et jouissant d'une renommée éternelle il a donné à perpétuité à Śiva un Nandin au corps divin fait en or.
Beau-frère de son ami le Śrī Yuvarāja cadet du roi, puis favori du roi fortuné Śrī Jayavarmadeva, réceptacle d'une masse de bonne renommée, héros, chef d'armée, honoré par Śrī Dharaṇīndravarman, il a fait
Being full of joy
St XXIX,
St. XLIII, ltva est incertaine, le t souscrit ayant une forme insolite, et ayant peut-être été corrigé".
First edited by George Cœdès (