Stela from Takeo (K. 1266), 7th century CE EpiDoc Encoding Kunthea Chhom intellectual authorship of edition Saveros Pou Dominique Soutif DHARMA Siem Reap DHARMA_INSCIK01266

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vihār· puṇya ci Et· Amnoy· ta vihār· kñuṁ vā jan· bi ru pyor· vā sal· pat· ku Añje ple sralañ· kon· ku pau tai karoṁ man· taṁ pu po Añ· duok· mvān· thās· srageḥ gui neḥ Aṁnoy· ta vi

puṇya puṇy· puṇya Il ne semble pas que l’absence de a final dans l’édition de S. Pou voir aussi infra l. 6 vise à indiquer l’existence d’un virāma : il n’y en a aucune trace. ci Et· ci dok· ci Et· Je peine à lire dok sur les reproductions dont je dispose. Si un nommé Ci Dok est attesté K. 30, il reste que le nom propre « Et » angkorien qyat l’est également K. 54/***, l. 13 ; K. 51/***, l. 7. Amnoy· Aṁmnoy· Amnoy· Aucune des reproductions à ma disposition n’incite à admettre la présence d’un anusvāra. jan· jan· janā Peut-être ce que je prends pour un virāma à l’instar de S. Pou et Vong Sotheara pour un ā est-il un e « suscrit » cf. infra ad l. 4, auquel cas il faut lire janejane. Lire in bi ru pyor· dhir· hvor· ji rupyor· vā sa vā saṁhā vā sarū Añje Añjāṁ Añjū Au-dessus du ñ, dont la lecture semble assurée comparer avec les ñ des lignes 5 et 7, figure très nettement une « demi-boucle » partant de la droite de la ligne supérieure du ñ. Il ne peut s’agir d’un virāma dont l’écriture aurait « déraillée », et tout semble indiquer qu’il s’agit bien d’un e suscrit : voir infra commentaire. Reste que le graphème ici interprété comme un j souscrit est intriguant. ple ple ple sralañ· sralañ· sralañ· La leçon est en effet quasi certaine. pau no pau tai tai La lecture karoṁ semble assurée. karoṁ karāṁ karoṁ La lecture karoṁ semble assurée. taṁ taṁ pu puṇy· hu La lecture hu ne peut être exclue, mais l’extrémité droite du h n’est pas visible sur les documents à ma disposition. La leçon de S. Pou suppose que l’inscription est incomplète à droite, ce dont on n’a pas d’autre preuve. po pau po duok· dnok· dok· Je ne me résous pas à interpréter autrement le premier graphème. Le d, si c’en est un, présente un appendice inférieur qui ne semble pas pouvoir être assimilé à un n souscrit, mais correspond à la voyelle u cf., p. ex., K. 44, % A l. 5 śrīmadutpanneśvara ; A l. 5 arkkendu° ; B l. 7 duk. mvān· mān· Hormis le virāma, rien n’est certain dans la lecture de cette séquence, la pierre étant abîmée à cet endroit. N’était le fait qu’on ne dispose apparemment pas d’occurrence de vān désignant une « coupe » Pou 1992 : 438a ; Long Seam sd. : 519 à l’époque préangkorienne seul l’anthroponyme vān semble y être attesté, dans K. 149, l. 17 : ku vān à vérifier sur estampage, je conjecturerais volontiers ce terme. thā dhā thā Le caractère th, quelque peu « empâté » sur la reproduction parue dans les NIC III, est clair sur les documents à ma disposition. La lecture est corroborée par le parallèle de l’inscription K. 505 de Khao Rang, datée de 639 de n. è., qui relate également une donation à un vihār, et où figurent aux l. 18-19, parmi les dons, thās· II srageḥ 20. gui gi gui noy· noy· noy· Sont encore visibles la partie supérieure verticale du o, la moitié supérieur du y la reproduction des NIC indiquerait plutôt un gh, mais il doit s’agir d’une imperfection de l’estampage et, sans ambiguïté, le virāma. ta ta ta Seul le contexte permet de restituer ta, dont il ne reste que l’extrémité supérieure. Par ailleurs, je ne vois pas, même sur la reproduction parue dans les NIC III, qu’il y ait trace d’un signe entre celui qui est interprété comme ta et vi. vi vihār· vihār· Le i est très clair, et la partie supérieure de la consonne qui le porte est tout à fait identique à celle du v de la ligne 1, triangulaire. La partie supérieure d’un se laisse deviner sans problème. Si le r final, probable d’après le contexte, est bien surmonté d’un virāma cf. l. 1 et 2, ce dernier est tracé au même niveau que la ligne supérieure des akṣara, sans doute en raison de l’appendice du a qui finit la ligne 8, qui aura obligé le lapicide à décaler le r vers le bas.

First edited by Saveros Pou (183) without translation; edited again by Vong Sotheara (47) in roman and Khmer script; the variants of reading are taken from the Khmer script.

47 183