Face
Que l'Être qui est un, bien que, par ses éléments qui se disséminent dans le feu, dans le vent, dans le soleil, qui se réunissent dans le son aimable des lettres et de l'udgītha, il pénètre toutes choses .
Qu'elle vous protège, Celle qui à la fois multiple et une à maintes reprises, dans le réservoir universel des eaux.
Je salue de la chevelure de Śiva porteur du trident, ennemi de Kuśa.
Que Śambhu vous protège puissamment, lui qui, bien que libre de toute passion et inébranlable dans le yoga, se laissa pourtant séduire par les vives œillades de Gaurī et réduisit pour cela l'Amour en cendres.
Il fut un roi dont les ongles des pieds étaient devenus brillants à force d'avoir été frottés contre les crêtes, étincelantes de joyaux, des diadèmes des rois ; qui tout en étant nommé Bālāditya "soleil levant" était une lune incomparable pour fermer les lotus des races hostiles, né dans la race de Soma et de Kauṇḍinya, réceptacle de toutes les vertus, à qui l'éclat de sa gloire servait de parasol, et qui, dans Aninditapura illuminé par son bras puissant, faisait la félicité de la Fortune royale.
Comme le soleil salué par les Siddha, par les troupes des Apsaras, par les plus parfaits brâhmanes et par les Kinnara, il était sans cesse adoré par les plus puissants rois dont le front reluit de l'éclatante rougeur de la poudre de ses pieds ; - et bien qu'apparu à Svargadvārapura ou: sorti d'une ville qui était la porte du ciel, il illuminait le séjour suprême des créatures ayant distribué cent liṅga sur la surface de la terre.
Son descendant, roi en l'année śāka marquée par 8, les 6 saveurs et les 6 ennemis, ayant comme Viṣṇu une Fortune enflammée, le roi des rois Rājendravarman .
Augmentant la Fortune des points cardinaux par l'emploi de la conciliation et des. autres moyens, ornant la surface de son territoire ou: de son disque des rayons de sa majesté ascendante, tel Savitar le soleil pour la prospérité des lotus .
Il réunissait en sa personne la valeur du lion, la force du vent, la profondeur de l'océan la souveraineté d'Indra la Fortune de Hari, une énergie supérieure à celle de Kumāra,la libéralité de Bali maître des Daitya, l'intelligence de Br̥haspati maître des dieux .
La pleine lune brille régulièrement la nuit, le soleil auteur du jour sa brilla sur terre comme une épouse fidèle.
"L'Amour brûlé, privé de membres ", c'est comme dans cette pensée que le Créateur a fait ce Seigneur invaincu, éminent par sa beauté.
Face
Esclaves offerts par V. K. A. au V. K. A. Dvijendrapura suit la liste. Total des si, 27 ; total des tai, 22.
Esclaves offerts par Kanloṅ K. A. à V. K. A. Dvijendrapura la suite est ruinée.
à l'ouest, la rivière jusqu'au coin V. K. A. a acheté à Vāp Bhīma 3 pieds (de rizière) que Tāñ K. A. à Vnur Vinau "tertre des orangers de Malabar" a achetée à pour l'offrir à V. K. A. Dvijendrapura.
Terre de Thnal Pāk "chaussée rompue" offerte par Mratāñ Śrī Rājendrārimathana à V. K. A. Dvijendrapura, lors de la fête du huitième jour. Sur l'établissement de Travāṅ Vanik "bassin du marchand", à l'est de celle-ci, à la mort de Mratāñ Śrī Rājendrārimathana, Vāp Vrau d'Aninditapura, et Vāp Ap Mratāñ Śrī Rājendrārimathana, terre n'allant pas jusqu'à la rivière. Ils dirent que c'était une autre terre que Mratāñ Śrī Rājendrārimathana leur avait achetée. La terre au sujet de laquelle Vāp Vrau et Vāp Ap avaient soulevé une objection V. K. A. Divākarabhaṭṭa l'acheta au prix de 1 vudi, 1 bol d'argent, 3 vas de vêtements, 12 colonnes, 10 blocs de latérite, 10 thlvaṅ de paddy on planta les bornes de cette terre qui fut donnée à V. K. A. Dvijendrapura. A l'est elle est bornée par toute la rivière, au sud elle va jusqu'à la pêcherie, à l'ouest elle touche à la rizière de Mratāñ Khloṅ Śrī Jayendrāyuddha, au nord elle est bornée par toutes les fosses des morts.
En 904 Śaka, le sixième jour de la lune croissante de Māgha, il y eut une ordonnance de Sa Majesté demandant à V. K. A. Divākarabhaṭṭa l'histoire de la terre de Taṁpol, au sujet de laquelle Tāñ Steṅ Heṁ de Saṁroṅ avait remis une requête reçue par V. K. A. Divākara. V. K. A. exposa au roi que cette terre de sept pieds de rizière à Taṁpol, Vāp Dharma, page l'avait obtenue en tant que bien d'héritage revenant à la corporation chargée des Saints vêtements blancs ; que Tāñ Hyaṅ, sœur cadette de Vāp Dharma ainsi que Tāñ Ayak, Vāp Ap et Vāp Jun, neveux de Vāp Dharma, avaient pris 1 vudi, 1 bol d'argent, jñaśira pour acheter une autre portion de terre à Taṁpol et l'offrir à V. K. A. Dvijendrapura en 902 Śaka .
Steṅ Añ Vraḥ Guru, la Sainte Cour, Mratāñ Śrī Dharaṇīndropakalpa, Steṅ Añ Tejorāśi, inspecteur des qualités et des défauts, appelèrent Steñ San At ācāryahoma, Vāp Amr̥ta chef des huissiers, Vāp Dharmācārya conseiller, et leur notifièrent une ordonnance les chargeant d'aller appeler quatre anciens pour leur demander sous la foi du serment les dimensions de la terre des Saints vêtements blancs donnée à V. K. A. Dvijendrapura, et de leur faire planter les bornes. L'Ācāryahoma, le chef des huissiers et le conseiller allèrent appeler leur notifièrent l'ordonnance, les firent prêter serment et les interrogèrent.
Vāp Tīrtha, dizenier du corps des pages du pays de Taṁpol, Vāp Dān de l'établissement de Vikramapura, Vāp Arjuna de l'établissement de Sthalā, Vāp Dān de Varuṇa, déclarèrent que cette terre de sept pieds de rizières était bien réellement la terre de Vāp Dharma, dépositaire des Saints vêtements blancs puis ils plantèrent les bornes pour en faire don à V. K. A. Dvijendrapura.
Des gens ayant arraché ces bornes, il y eut une ordonnance royale chargeant un raṅvāṅ d'aller enquêter au sujet des gens qui avaient arraché les bornes en vue de les arrêter. Une femme qui avait arraché les bornes dit que . Il y eut une ordonnance chargeant Vāp Mitrānandana .
Face
Je salue Celui dont les membres resplendissent du lustre des joyaux qui décorent les spirales du roi des serpents, et dont l'épaisse chevelure est ornée du croissant de la lune à l'aimable éclat, Bhava qui anéantit l'existence, qui est nourri par Bhavānī .... là naissance pour la prospérité des êtres.
Ce roi Rājendravarman eut un fils, digne du respect des rois des points cardinaux qui, après avoir établi, comme le Créateur lui-même, un ordre excellent parmi les castes et les āśrama, trouva sa joie dans les mantra d'Īśvara,
brun, jeune, ayant les yeux pareils à des lotus et les pieds marqués du lotus ayant de belles mains ornées de la roue, riche en talents, enflammé par Śrī, vertueux, ayant obtenu la royauté par les 8 formes, neuf et l'espace (= 0), vainqueur de nombreux rois ennemis, Jayavarmadeva.
Tel Pūṣan, il se levait dans le cercle , répandait son éclat dans les points cardinaux, dispensait aux créatures les objets de leurs désirs, était difficile à regarder dans la bataille, et vainquait toujours le parti ennemi.
C'est avec difficulté que Hari, dans une fête, a conquis l'univers en trois pas, tandis que c'est en se jouant que ce roi l'a conquis en y répandant son commandement.
Comme par jalousie à l'égard de la marche du soleil pendant le jour, et de la lune pendant la nuit il brille .
Quand il se mettait en marche, la terre avec ses montagnes s'agitait sous le choc de ses armées, comme, lors de la destruction du monde les vagues de l'Océan soulevé par la tempête.
Avec les bruyants tambours, auxquels se mêlent agréablement les sonores cymbales de cuivre, avec les karadi, les timila, les luths, les flûtes, les cloches et les tambourins, avec les purava, les timbales, les bheri, les kāhala et la multitude des conques, il inspirait continuellement la terreur aux ennemis par la multitude de ses instruments de musique.
Lors du grand combat pour la possession de la terre, lorsqu'ils eurent rencontré soudain la ruine causée par la chute des traits de ce roi puissant, à qui les flammes de ces sacrifices qu'étaient ses expéditions faisaient un immense étendard de fumée, les ennemis les plus braves, terrifiés, s'enfuirent jusqu'au dernier, abandonnant leur folle présomption.
Consumée par le feu de ses traits divins, la grande forêt de ses ennemis ne repoussa plus, bien qu'elle fût arrosée par les larmes de leurs conseillers.
Ayant vu ce lion parmi les rois dans sa fureur, faisant entendre le rugissement du lion, et frappant de cette griffe acérée qu'était son épée les bosses frontales des plus puissants et des plus irrésistibles éléphants de l'ennemi, ces gazelles que sont les rois s'enfuirent au fond des bois.
Couverte des perles détachées, par ses coups pénétrants, des bosses frontales des éléphants de l'ennemi, la liane de son épée dans la bataille était la manifestation même de la langue de Kāla.
Quand, semblable à Viṣṇu porte-disque, il lançait son disque dans la bataille, il ornait la déesse des points cardinaux de ces lotus que sont les têtes coupées des ennemis, brillants comme un rang de joyaux.
Quand il tenait son glaive au tranchant souillé par les flots du sang jailli des têtes tranchées de ses ennemis, on eût dit la déesse de la Victoire elle-même, placée en sa main, comme une fiancée, les pieds et les mains rougis par le pollen des lotus en fleur.
En apercevant la Victoire qui, terrifiée par la pointe de son glaive menaçant, toute rouge du sang qui s'échappe des poitrines fendues des ennemis, s'est suspendue à son cou, la Gloire, comme prise de colère, s'en allait au bout du monde, et, bien qu'elle lui fût tendrement attachée, n'approchait plus de sa présence.
La forêt de la bataille toute remplie de vaillants adversaires, d'excellents guerriers semblables à des lions, avec leurs glaives, leurs troupes d'éléphants furieux et les nuées de leurs traits divers ou : remplie d'oiseaux, d'hommes braves et de lions, de rhinocéros et de masses de roseaux de toute espèce, et où retentissaient d'une façon terrible les cris sinistres des chacals et les rugissements du lion ou : les cris de guerre, il la consumait du feu impétueux de ses armes enflammées.
Cet océan de maintes batailles difficiles à traverser, avec le battement de ses vagues représenté par le frottement des défenses étincelantes des éléphants, avec ses flots de guerriers où le choc des armes reproduisait le fracas de la tempête, il l'a traversé, monté sur le vaisseau ou : le singe de la force, comme Rāma lui-même.
Ayant déserté le lotus de Hari flétri par le feu qu'avait exhalé la masse enflammée du venin vomi par le souffle du roi des serpents, comme l'abeille quitte un lotus jauni, desséché, déchiré, qui ne se réveillera plus jamais, Lakṣmī radieuse s'est reposée avec délice sur son brillant visage, cet autre lotus sans tache, réceptacle de toutes les qualités, fleur aimable, dont sa gloire excellente forme les pétales épanouis, dont sa grâce est le pollen, dont son sourire est le miel.
Son bras fut la digue de la justice à travers le vaste océan des souillures de l'âge Kali, le serpent servant à baratter les trésors des trois mondes, la demeure de la gloire cette autre Lakṣmī, l'arbre des désirs refuge des troupes des dieux et des Muni, le support de la terre comme le bras même de Viṣṇu.
Effrayés par la fumée de ses holocaustes qui obscurcissait toutes les régions, les maîtres de ces régions se réfugiaient dans les bois, réduits à se nourrir des fruits de la forêt.
Sa taille svelte, gracieuse, brillante, qui parfume les régions de la senteur des plus précieuses essences, que décorent de belles et somptueuses parures, l'emporte par son éclat Sur toute la beauté de l'Amour aux flèches fleuries, et réjouit la terre comme le croissant de la lune naissante.
De toutes parts des brâhmanes célèbres par leur héroïsme, à l'éclat subtil et pénétrant, qui ont dissipé les ténèbres du mal, qui possèdent l'essence de la science du Vedānta, qui se plaisent à suivre la voie de la Smr̥ti, libres de passions, désintéressés, fidèles à leur devoir, exemples manifestes des huit perfections du yoga, se réglant sur la marche du soleil, sans cesse humectés du nectar de la méditation et profondément versés dans les Veda et les Vedāṅga, l'ont salué de leurs acclamations répétées.
Un seigneur des êtres qui n'a plus rien à acquérir, qui est arrivé à l'émancipation suprême, sans orgueil au sein des splendeurs, lui-même un roi et le bien-aimé du roi des rois ou : de Rājendravarman, invaincu et victorieux de ses ennemis, un Kr̥ṣṇa lieu ayant l'éclat du printemps Mādhava, se tenant dans le combat lourd de véhicules, armé de sa puissance, il prit lui-même la Fortune des ennemis, flamboyante, puissante, le bord des tempes des éléphants.
La sœur puînée de ce prince dont la gloire se répandait au loin la fille de Śrī Rājendravarman, ornée de la célèbre Indralakṣmī, épouse de l'Indra des brâhmanes, érigea avec amour une image de sa propre mère en l'an marqué par les 8 corps, neuf et l'espace = 0.
Gendre de ce maître du monde appelé Rājendravarman, qui est comme le joyau au haut du diadème de tous les princes de la terre, et dont la Victoire a parcouru l'univers, beau-frère du roi Śrī Jayavarmadeva, le glorieux Deva Bhaṭṭa Divākara, ayant établi dans le Madhuvana une triade de dieux, la consacra à Bhadreśvara,
pourvue d'un palanquin d'or et d'autres richesses, brillante de magnifiques parures de joyaux, dotée de beaucoup de terres, d'argent, de cuivre, d'or, de bétail, de serviteurs, de servantes, de buffles, de chevaux, d'éléphants.
Ayant fait de tout cela la jouissance indivise entre ceux-ci et Bhadreśvara, le Deva assigna lui-même six khārikā de riz décortiqué par an pour la nourriture de ceux qui viendraient en ce lieu.
il creusa de plus un grand bassin, réjouissant comme la mer de lait, mettant fin aux souffrances de la fatigue.
Ayant renoncé au fruit des œuvres et triomphé des objets sensibles, ces repaires inexpugnables du désir et des autres vices le Deva Bhaṭṭa Divākara, après avoir installé dans le l'Madhuvana l'excellente Bhāratī .
Ayant érigé de plus, conformément à la règle, lui, le roi de la règle, une image de Viṣṇu dans la ville de Dvijendrapurī, de sa chère Indralakṣmī, l'Indra des brâhmanes établit là un séminaire vidyāśrama pour les plus illustres brâhmanes.
Là où l'aimable Kāliṅdī sacrifices avec les formules des r̥c, des yajus et des sāman répétées à chaque savana par 36.000 vénérables brâhmanes, là où Kr̥ṣṇa, le vainqueur du serpent noir, le' destructeur de la race des fils de Diti, joua dans son enfance, là naquit ce Deva, le Bhaṭṭa appelé Divasakara, à la gloire excellente.
Un palanquin d'or et un village du nom de Madhuṣūdana furent assignés à Hari dans la ville de Dvijendrapurī par Śrī Jayavarmadeva, agissant comme prince héritier, lequel obtint la royauté suprême en l'année marquée par huit, les 9 ouvertures et l'espace = 0.
Les hommes violents, méchants, avides, violateurs des bonnes œuvres d'autrui, ceux-là, a dit Manu, vont dans l'enfer avec leurs ancêtres.
Au-dessus de nos propres bonnes œuvres sont les bonnes œuvres des autres, dit la Śruti. Respectez-les donc, vous qui aspirez aux trois sortes de fruits.
Face
Biens de V. K. A. Dvijendrapura :
1 couronne d'or avec 1 saphir ; 1 massue d'or ; 2 piques d'or avec 2 saphirs ; 2 pendants d'oreille en or ; 1 cuirasse en or par devant avec 5 saphirs, en argent par derrière ; 1 vêtement en or par devant, en argent blanc par derrière ; 1 conque d'or, 1 disque d'or, 1 bâton en or par devant, en argent par derrière, 1 terre en or ; 3 bracelets kaṭaka d'or, 1 brassard d'or orné de perles tout autour ; 4 bagues d'or avec 2 rubis, 1 topaze, 1 saphir ; un demi-prāsāt en argent avec 13 rubis ; un revêtement d'argent à trois faces ; 1 curi en haṇira toṅ ; enveloppe d'argent ; 2 anneaux de cheville.
(Biens) de V. K. A. Bhagavatī :
1 couronne. d'or ; 1 massue d'or ; 2 piques d'or avec 2 pierres véritables : 2 pendants d'oreille en or ; 1 collier d'or ; 2 bracelets keyūra d'or ; 1 śrīvatsa d'or, bracelets d'or ; 2 anneaux de cheville en or ; 1 sautoir d'or ; 4 chaînes avec 5 pierres.
1 vase d'or ; 1 support de vase ; 7 vases étroits ; 1
vat large ; 1
vat étroit ; 2 vases larges ; 1
khlās d'argent ; 1
vaudi d'argent; 1 crachoir d'argent ; 1 boîte d'or ; 1 vardhaṇī en argent et
procéder à une nouvelle ; 1
nū à eau en haṇira avec une émeraude ; un nū cok en
haṇira ; 2 boîtes en argent et
haṇira ; 2 boîtes gravées de
motifs en forme de chaînes ; 1 boite d'argent blanc ; 1 boîte d'argent large ; 3 boites d'argent étroites ; 3 autres boîtes d'argent ; 2 flacons d'argent ; 1 vase à eau en argent;
vase d'argent pour laver les pieds ; 1 plat d'argent ; 1 coupe à libation ; 1
nū cok en argent ; 1
popil à pied d'argent ; 1 aiguière d'argent ; 1
d'argent ; 1 fil d'or ; 1 saphir ; 1
pierre couleur de chair ; 1 palanquin ; 2 écrans d'argent ; 2
parasols blancs en argent ; 2 corbeilles de cuivre rouge ; 3
; 5 bassines, 10 plateaux, soit 15
jaṅjyaṅ ; 4 crachoirs; 2
pādali ; 5 bols pour les cinq sacrifices ; 1 couvercle ; 1 lotus
asthārikā ; 1 pied en cuivre ; cuivre
; 1 aiguière de cuivre ; 1 aiguière de
saṁrit ; 1
lkāṁ, 1
vaudi de
saṁrit ; 1 serpent de
saṁrit à sept têtes ; 4 accessoires de
saṁrit ; 4
parasols à manche d'or ; 2 pointes de manche ;
bague à sceau en
saṁrit ; 2 éventails en plume de paon, én argent ;
parasol à manche d'or, en argent.
Dons de S. M. Śrī Jayavarmadeva à V. K. A. Dvijendrapura, œuvre pie de V. K. A. Divākarabhaṭṭa : un palanquin et le pays de Madhusūdana, au pied de la capitale, bien d'héritage du Kaṁsteṅ Vnur Vinau suit une liste de gho et de gvāl. Total 30 gho, 4 gvāl suit une liste de tai avec leurs enfants. Total des enfants et des adultes : 94.
En 906 Śaka, premier jour de la lune croissante de Phālguna, il y eut une ordonnance de S. M. Śrī Jayavarmadeva à Steṅ Añ Vraḥ Guru, le chargeant d'aller notifier à Vāp Vai, khloñ bhūtāśa des biens d'héritage, à Vāp Deṅ pratyaya Madhusū- dana, bien d'héritage, à Steṅ Vnur Vinau, au pied de la capitale, qu'ils aillent pour être à Dvijendrapura, œuvre pie de V. K. A. Divākarabhatta quotidiennement à V. K. A. Dvijendraprua notifier Mratāñ Śrī Dharaṇīndropakalpa, Steṅ Añ Tejorāśi, inspecteur des qualités et des défauts, lui enjoignant de laisser .
Les esclaves que Tāñ Kamrateṅṅi à Vnur Vinau donne à V. K. A. sont d'anciens esclaves. Les esclaves donnés par Kanhyaṅ K. A. Indralakṣmī les esclaves donnés par V. K. A., les uns ont été achetés à Vāp Śrī Dhara et à la mère de Vāp à ladeva, à Teṅ Hen, à Teṅ Devakī de Travāṅ Jvik paddy pour chaque individu, les esclaves que liste de quelques si et tai ensuite on en choisit d'autres comme offrande dakṣiṇā.
... aiguière d'argent ; 1 gravée de figures ; 1 bol d'argent ; boîte d'or donnée ; 5 d'argent ; 1 coupe en forme de crâne ; 1 demi-conque véritable ; 1 plat ; phnāṅ ; ; 1 de cuivre ; 3 noṅ de Chine ; 2 saphirs ; 2 pierres à broyer ; 4 vīnā ; .
Esclaves offerts par Mratāñ Khloñ Saṅkarṣaṇa liste de quelques si et tai . Quant à la rizière à Phler achetée à laisser le cuisinier, le fabricant de feuilles qui servent les gens qui donnent 6 liḥ, de riz décortiqué à Bhagava quotidiennement avec le bois à brûler, le sñak, les branches d'arbre à feuilles, quotidiennement, l'inspecteur le cuisinier, le fabricant de feuilles. Gho Bhīma, les gens qui servent quotidiennement .
En 883 Śaka, troisième jour de la lune décroissante de Kārttika, mercredi, mansion lunaire Ārdra, S. M. Śrī Rājendravarmadeva chargea Mratāñ Khloñ Divākarabhaṭṭa d'acheter lors de la fête du huitième jour à Vraḥ Vnaṁ. Ensuite il donna en offrande à Divākarabhaṭṭa le village de Mratāñ Khloñ Someśvarabhaṭṭa, et les rizières bien d'héritage de Mratāñ Mratāñ Khloñ Divākarabhaṭṭa demanda respectueusement au roi que les dons de S. M., villages et rizières, fussent attribués au Vidyāśrama. Il y eut une ordonnance adressée à chef des magasins de troisième catégorie, chef mukha des biens d'héritage, à Mratāñ Khloñ Śrī à Śrī Mahendravallabha, chef des magasins de quatrième catégorie, à Vāp Vai, pratyaya, leur enjoignant de donner le village et les rizières au Vidyāśrama, comme le Mratāñ Khloñ Divākarabhaṭṭa l'avait demandé. Steṅ Añ Ācārya Bhāgavata, Mratāñ Śrī Mahendropakalpa, inspecteur serviteur de confiance, Mratāñ Śrī Vīravikhyāta, khloñ cāñ, Vāp Sāṅ, Mratāñ Śrī Dharaṇīndropakalpa, khloñ vnaṁ de ce Steñ.
Face
Celle qui, brillante des splendeurs du soleil levant, se montre au jour après avoir fendu le lotus primordial ; qui, au temps de la destruction du monde, s'y retire de nouveau, resplendissante comme la lune pour procéder à une nouvelle création ; elle dont la fière que cette Śakti qui cause le succès du Seigneur du monde, Vāgīśvarī, vous protège.
Et de plus, le deva Divākara a érigé ici en l'an marqué par les 8 formes, neuf et deux cette image de sa chère Indralakṣmī célèbre sur terre, qui procure les trois sortes de fruits, et qui a le bras radieux levé pour la destruction de l'ennemi des dieux.
Le bhaṭṭa Vāsudeva, le meilleur des brâhmanes célèbre dans le monde, à l'âme apaisée, a érigé un liṅga de Śiva.