La première fois que j’avais rencontré path.py, je l’avais trouvé “juste pratique”, et donc je n’avais pas passé plus de temps dessus. Un jour je me suis juste forcé à l’utiliser partout dans un projet type “labo” dans lequel je mettais plein de libs à l’épreuve du feu. Force est de constater que sur le long terme, cette bibliothèque fait gagner à un projet pour un coût infime. Je l’inclus maintenant par défaut partout.
crontab peut réserver des suprises si on oublie de bien déclarer tous les repertoires dans le PATH…
Il y a beaucoup de tutos qui demandent de simplement “ajouter le résultat au PATH”, mais assez peu expliquent pourquoi et comment le faire.
Comme on aime bien faire les choses à l’envers chez Sam et Max, on va d’abord expliquer comment, et ensuite pourquoi.
Dans un article, nous parlions des extensions alternatives en Python, et notamment de l’usage des fichiers *.pth. Néanmoins cette extension est souvent mal comprise, et voici un comment en profiter au maximum.
